UFC-QUE CHOISIR DE LA SARTHE

SFAM : mieux vaut tard que jamais !

Gain de cause acquis grâce à l’action de UFC-Que Choisir de la Sarthe.

Notre adhérent, Monsieur V., a fait l’achat d’une tablette au magasin DARTY de La Ferté-Bernard, le 23 mars 2018. Il déclare ne pas avoir signé de contrat d’assurance SFAM n° 3368573 ni de SEPA le 23 mars 2018 lors de l’achat de cette tablette.

S’apercevant qu’il était prélevé chaque mois pour cette assurance, il demande la copie de ce contrat. A sa grande surprise, la signature portée sur le contrat n’est ni la sienne ni celle de son épouse.

Il saisit notre association pour faire annuler ce contrat et obtenir le remboursement de la somme de 927,52 € prélevée à tort.

Nos échanges de correspondances sont très nombreux et ce n’est seulement que le 16 février 2023 que notre adhérent reçoit le solde de remboursement. Ce dossier était ouvert, dans notre association, depuis le 4 mai 2022.

La SFAM est coriace et ne cède pas facilement. Mais nous le sommes aussi, tout comme notre adhérent, qui nous remercie de notre intervention et fait un don à l’association.

UFC Que Choisir de la Sarthe, antenne de La Ferté Bernard

30 juin 2023

Complémentaire Santé: Ensemble pour luter contre l’inflation

Alors que les tarifs des complémentaires santé ont bondi de 7 % cette année, et que le renoncement aux soins pour raisons financières grandit en France, l’UFC-Que Choisir veut faire profiter les consommateurs de sa victoire : la résiliation à tout moment des complémentaires santé. Sa filiale, la SAS Que Choisir, organise, après le succès des achats groupés énergie, un achat groupé d’une complémentaire santé individuelle à tarifs fixes pendant 2 ans, y compris un gel de l’évolution des tarifs en fonction de l’âge. Plus d’explications avec Léa, stagiaire à l’UFC-Que Choisir de la sarthe. Elle est au micro de françoise Grimard.

Pour participer à la campagne  » Complémentaire santé ensemble «  :

28 juin 2023

La BPO cède en justice

Gain de cause acquis grâce à l’action de UFC-Que Choisir de la Sarthe.

Monsieur C. adhérent, nous expose qu’il a été victime du vol de sa carte bancaire. Celle-ci lui a été subtilisée dans la poche de sa veste le 9 juin 2020 au Mans.

S’apercevant de ce fait, il a fait aussitôt opposition à LA BPO mais deux retraits (900 € et 820 €) avaient déjà été faits. Il a déposé plainte au Commissariat de Police du Mans le 15 juin 2020 pour utilisation frauduleuse de carte bancaire volée.

Monsieur C. contacte notre association le 19 novembre 2020 pour la demande de remboursement de la somme de 1720 €.

La BPO ne veut rien savoir et refuse tout remboursement. Une action en Justice est ouverte et Maître ORSINI,  qui défend les intérêts de Monsieur C., obtient un jugement favorable le 6 janvier 2023 (remboursement des 1720 €, article 700 du CPC et dépens à la charge de la banque). Nous recevons les vifs remerciements de l’adhérent pour notre action.

UFC Que Choisir de la Sarthe, antenne de La Ferté Bernard

28 juin 2023

Des navettes gratuites en centre ville et à l’hôpital du Mans

Le Mans compte désormais 2 navettes gratuites : la première au centre-ville, la deuxième au centre hospitalier. En juin 2021, la SETRAM a mis en service une navette gratuite et 100 % électrique qui relie différents points d’intérêt du centre-ville

Les bus utilisés en ville, ne pouvant circuler dans les rues trop étroites de la Cité Plantagenet, la navette permet à tout un chacun de relier la mairie à différents lieux utiles et importants du centre-ville que ce soit des parkings, des arrêts de tram T1 et T2, ou des bâtiments comme le Palais de Justice ou le Centre Commercial des Jacobins.

Elle passe toutes les 10 minutes du mercredi au samedi, hors jours fériés. Il suffit de faire signe au conducteur pour qu’elle/il s’arrête aux 7 arrêts prévus : les mercredi et vendredi de 8h à 19h, les jeudi et samedi de 10h à 19h

En mars 2023, la SETRAM compte 150 voyages/jour en moyenne depuis sa création.

Le trajet de la navette Centre Ville

Au Centre hospitalier du Mans, une deuxième navette gratuite, mais pas électrique, a été mise en service en janvier 2023. Elle compte 5 arrêts et doit faciliter les déplacements des usagers entre les différents parkings du CHM, les stations Cadran-Epine et Hôpital du tram T1, la maternité et le Centre de Cancérologie de la Sarthe.

Elle fonctionne du lundi au vendredi de 7h30 à 20h aux départs des parkings P1/P2  ou P3 sur la base d’un passage toutes les 15 minutes. Deux mois après sa mise en service, la SETRAM compte 30 voyages/jour mais espère une augmentation de la fréquentation quand elle sera plus connue des visiteurs et du personnel hospitalier.

Une amélioration souhaitable : la mise en place de bancs pour l’attente aux arrêts. Le groupe Mobilités/transports portera cette demande auprès des services concernés.

Le trajet de la navette centre hospitalier

Annie Tholoniat; Commission Mobilités / Transports, UFC-Que Choisir de la Sarthe

26 juin 2023

15,70 % d’eau potable perdus en Sarthe : l’UFC-Que Choisir de la Sarthe se mobilise contre ‘’la fuite en avant !’’

Si l’UFC-Que Choisir n’a de cesse, année après année, de dénoncer la pression de l’agriculture intensive et de l’irrigation sur l’eau, tant en termes de quantité que de qualité (pollution), l’association épingle aujourd’hui un autre mal pour la préservation de la ressource : l’état des réseaux de canalisation d’eau potable.

Alors que le ministère de la Transition écologique indique que notre département subira probablement une nouvelle sécheresse cet été, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe dénonce aujourd’hui ‘’ La fuite en avant ! ’’ pour alerter sur le niveau préoccupant des pertes d’eau potable dans la Sarthe, 15,7% disparaissant à cause des fuites des canalisations.

Cette précieuse ressource devant être plus que jamais économisée alors que notre climat change à un rythme accéléré, l’Association demande aux pouvoirs publics de mettre en œuvre un véritable plan de rénovation des réseaux. Elle lance par ailleurs une action de sensibilisation de l’opinion publique.

L’impact de l’évolution climatique se fait désormais sentir de manière très concrète sur notre approvisionnement en eau. L’été dernier, le département de la Sarthe a été officiellement placé en situation de crise entrainant dans certaines zones un arrêt total de l’irrigation et des usages d’eau non prioritaires.

De telles sécheresses seront inéluctablement amenées à se multiplier avec la diminution des précipitations prévues pour les prochaines décennies. Les climatologues et les hydrologues indiquent que la recharge des nappes phréatiques devrait baisser en moyenne de 10 % à 25 %[1] et qu’elle risque d’être particulièrement marquée dans le bassin Loire-Bretagne (-25% à – 30%).

Les débits moyens des fleuves pourraient être réduits de 10 % à 40 % sur l’ensemble de l’année. Quant aux débits estivaux des fleuves, ils pourraient être réduits de 30 % à 60 %… Alors que le ministère de la Transition écologique considère que le risque de sécheresse est déjà très probable pour notre département, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe alerte sur le niveau alarmant des pertes d’eau potable qu’elle a relevé dans la Sarthe et la faiblesse des mesures prises pour y remédier.

L’équivalent de la moitié de la consommation de la ville du Mans perdue chaque année en Sarthe

Sur l’ensemble du département, 15,7% de l’eau potable sont perdus à cause des fuites de canalisation[2], soit un taux de fuite inférieur à la moyenne nationale qui est d’un litre sur 5 perdu (19,9 %). Ces pertes représentent cependant chaque année l’équivalent de la moitié de la consommation annuelle en eau de la ville du Mans.

Les canalisations aux matériaux fragiles (fonte grise, PVC collé, amiante-ciment) représentent en effet plus de la moitié (55 %) du réseau français et une grande partie d’entre elles a déjà dépassé l’âge où elles auraient dû être remplacées.

En 2019 les Assises de l’Eau ont fixé l’objectif de renouveler 1 % du réseau national par an.  Mais dans la Sarthe, 94% des communes sont en-dessous de cet objectif national !

Fuite d’ « O, AU, EAU » : une action de sensibilisation symbolique

Déterminée à conscientiser l’opinion publique sur la gabegie économique et environnementale que constituent les fuites d’eau potable dans les canalisations, l’association locale de la Sarthe participe à l’opération nationale de l’UFC-Que Choisir : « La fuite en avant ». A l’image du livre « la disparition », les bénévoles de l’association locale font provisoirement disparaître les « o, au, eau » de noms de communes sur les panneaux d’entrée de ville pour dénoncer l’ampleur des fuites d’eau dans le département et appeler à un véritable plan de rénovation des réseaux.

Plan de rénovation des réseaux : une volonté politique en fuite

Avec la suppression totale en 2016 de l’aide en matière d’ingénierie apportée par les services de l’Etat (connaissance de l’état des réseaux, programmation des travaux, maîtrise d’ouvrage…), les communes sont désormais seules responsables de l’entretien des réseaux. Si les grandes et moyennes collectivités peuvent être en capacité de mobiliser les moyens humains et financiers pour assurer la gestion de leur réseau, tel n’est pas le cas des plus petites communes qui ont les plus grandes difficultés à connaître l’état de leur réseau ou à financer sa rénovation.

Quant aux aides financières, elles sont limitées par la faiblesse du budget de l’agence de l’eau de Loire-Bretagne et l’iniquité des contributions entre les différents acteurs.

Alors que les utilisateurs de l’eau sont censés contribuer au financement en proportion des volumes qu’ils prélèvent dans le milieu naturel, l’agriculture ne contribue qu’à 15% de la redevance prélèvement, alors qu’elle représente l’essentiel des consommations nettes d’eau en été.

Dans le cadre du plan Eau, le Président de la République a bien évoqué le sujet des fuites d’eau, mais pour proposer des mesures dérisoires. Alors que les experts exigent 2.5 à 3 milliards annuels, le Président a annoncé 180 millions d’euros, ciblés sur les plus petites communes… bref, une goutte d’eau !

Dans un contexte de raréfaction manifeste de la ressource, il est plus que jamais indispensable et urgent de limiter les pertes d’eau potable. A cet effet, l’UFC-Que Choisir demande aux pouvoirs publics :

  • un renforcement des aides de l’agence de l’eau Loire-Bretagne aux collectivités prioritaires en termes de raréfaction de la ressource et de fuites ;
  • une augmentation du budget de l’agence en faisant progresser les redevances prélèvement payées par les acteurs professionnels ;
  • un développement de l’appui technique du département aux petites communes ;
  • des objectifs plus ambitieux en termes de taux de pertes autorisés et de connaissance de l’état des réseaux par les communes.

[1] Rapport Explore 70 du Bureau de Recherches Géologiques et Minières et Rapport d’information fait au nom de la délégation sénatoriale à la prospective sur l’adaptation de la France aux dérèglements climatiques à l’horizon 2050 – Sénat – Mai 2019

[2] Données annuelles des services 2021 – l’Observatoire National des Services Publics d’Eau et d’Assainissement – Juin 2023

Evelyne Gaubert, présidente, UFC-Que Choisir de la Sarthe

25 juin 2023

Une présidente à la tête de la Fédération UFC-Que Choisir

Lors de son Assemblée Générale de l’UFC-Que Choisir les 10 et 11juin dernier, le Conseil d’administration de l’UFC-Que Choisir a élu Marie-Amandine Stévenin, Présidente de la Fédération UFC-Que Choisir.

Âgée de 43 ans et avocate de profession, elle succède à Alain Bazot qui, après 20 ans à la tête du mouvement, n’a pas souhaité renouveler sa candidature au Conseil d’administration fédéral.

Lors de son intervention, à la suite de son élection, elle a souhaité inscrire son action dans la continuité de celle d’Alain Bazot et du rapport d’orientation 2023-2027 adopté par l’association.

« À l’heure du réchauffement climatique, la consommation responsable est un enjeu majeur qui exige une action résolue des entreprises et des décideurs politiques pour permettre à tous de consommer mieux et moins. L’UFC-Que Choisir, dans toutes ses composantes, entend continuer de se mobiliser pour obtenir, au-delà des mots, des actes concrets des différentes parties prenantes. » 

Marie Amandine Stévenin

Evelyne Gaubert, Présidente de l’UFC Que Choisir de la Sarthe

23 juin 2023

Les parkings du Mans liés à des Centres de soins

La commission Mobilités/transports de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe à mené une étude sur les parkings du mans liés à un centre de soins.

Vous trouvez dans cette étude les tarifs et conditions d’accès des parkings concernés pour ces établissements : Centre hospitalier, Clinique du Pré, Centre de cancérologie, Pôle santé sud et Clinique du tertre rouge.

Retrouver tous les éléments de l’étude ICI

Jean-Jacques Huron, commission Mobilités/Transports de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe.

21 juin 2023

Les parkings publics du Mans enquêtés

La commission Mobilités/ Transports de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe, vous propose de comparer les tarifs des parkings de la ville du Mans, tous gérés par la Sté CENOVIA. (( tarif en vigueur : MARS 2023 )

Dans cette étude, vous pouvez constater les écarts de tarification : 3 parkings sont payants dès le 1er 1/4h, d’autres sont gratuits jusqu’ à 1h00 (Jacobins quinconce P2)

Comparez les tarifs pour un stationnement de 2h coté parkings Gare Sud  de 2 80 (P2) à 6 (P1).

ATTENTION : Pour les  Parkings Palais des Congrès – Médiathèque – Les Halles – Les Filles Dieu – Rabelais – Jacobins CC & P1, Les tarifs sont différents les dimanches et jours fériés

Généralement les entrées de parkings sont bien indiquées. Du fait de sens unique, les autres ont parfois un accès moins aisé (Filles Dieu – Halles Rabelais -Médiathèque).

Si l’ entrée est généralement aisée, la sortie est à risque et dangereuse, par exemple, près d’un rond point d’où la difficulté à s’’intégrer dans le trafic (Jacobins CC – Gare Sud P1 et P2).

A noter, la particularité du parking du Palais des Congrès avec 2 entrées : rue Barbier et quai niveau bas, sortie rue d’Arcole niveau haut. Quand vous stationnez un soir de spectacle, un conseil : utiliser les plateaux supérieurs pour sortir plus rapidement.

La largeur des places ne sont pas toutes confortables et du fait que les véhicules sont de plus en plus larges ( SUV ), le risque est augmenté. Les rampes d’accès sont aussi à incriminer pour l’accessibilité étroitesse , courbe serrée.

Attention à la sortie, elle peut être dans une rue à sens unique = prudence.

Retrouvez tous les éléments de l’étude ICI

Ce qui serait souhaitable :

  • un environnement plus coloré
  • une gratuité uniformisée sur la durée « offerte »
  • plus d’informations sur le quartier (tourisme – culture)
  • dans chaque parking un plan de la ville un plan réseau bus / Tram, une horloge & un thermomètre

 Jean Jacques Huron, commission Mobilités/transports

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

21 juin 2023

Comment bien choisir son vélo ?

En ville ou à la campagne, pour une utilisation quotidienne ou occasionnelle, un trajet court ou de longues balades : le vélo parfait n’existe pas, tout dépend de l’usage que vous en faites. Mais quelques caractéristiques sont tout de même à prendre en compte avant de se décider. Tour d’horizon cette semaine avec Françoise Grimard et Quentin DERY de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe.

12 juin 2023

Complémentaire santé ensemble : l’achat groupé pour échapper à l’inflation

Alors que les tarifs des complémentaires santé ont bondi de 7% cette année, et que le renoncement aux soins pour raisons financières grandit en France, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe veut faire profiter les nom des sarthois de la victoire de l’Association, obtenue de haute lutte: la résiliation à tout moment des complémentaires santé[1].

La SAS Que Choisir[2], filiale de la Fédération UFC-Que Choisir, organise un achat groupé d’une complémentaire santé individuelle à tarifs fixes pendant 2 ans, y compris un gel de l’évolution des tarifs en fonction de l’âge.

Prévoir-Vie (assureur)/Génération (courtier gestionnaire) ont remporté l’appel d’offres, soumis aux principaux acteurs du marché, et articulé autour de 3 exigences : tarifs fixes pendant 2 ans y compris vieillissement ; qualité de la relations client ; sécurité juridique. Ils lancent donc les offres « complémentaire santé ensemble » commercialisées, pendant 3 mois, par Magnolia.fr.

Complémentaire santé ensemble : 4 offres adaptées aux différents besoins santé

Afin de répondre aux besoins différenciés des titulaires d’une complémentaire individuelle (étudiants, indépendants, retraités), sont proposées 4 formules avec des niveaux de couverture plus ou moins importants :

  • la formule 1, la plus limitée en couverture, convient parfaitement aux personnes n’ayant pas de besoins particuliers importants sur l’audioprothèse, l’optique ou le dentaire. Cette formule ainsi que la formule 2 ont une version Hospi + qui permet d’augmenter les garanties hospitalisation.
  • La formule 3 est plus couvrante sur le dentaire, l’optique, les soins courants et l’audioprothèse.
  • la formule 4 est la plus haut de gamme (les garanties sont de 200% de la base de remboursement en hospitalisation (jusqu’à 100% de dépassements d’honoraires pris en charge) et soin avec une chambre particulière allant jusqu’à 85€ par nuit, 350€ en optique verre simple et 180% en soins dentaire (base de remboursement de la sécurité sociale + 80% de dépassements). Elle possède aussi un forfait pour rembourser de la médecine douce (à hauteur de 50€/séance pour 4 séances).

Des avantages communs à toutes les offres lauréates : tarifs fixes pendant 2 ans, sécurisées juridiquement

Alors que l’UFC-Que Choisir dénonce, année après année, les hausses exorbitantes des tarifs des complémentaires santé (+23% depuis 2019, un rythme deux fois plus élevé que l’inflation sur la période), les offres lauréates sont un bouclier anti-inflation. En effet, les tarifs sont fixes pendant 2 ans à compter de la date de souscription, même avec l’évolution de l’âge de l’assuré (sauf en cas de changement de formule ou de lieu de résidence). Les premiers souscripteurs auront donc un tarif garanti jusqu’en juin 2025, échappant aux hausses annuelles de tarifs de début 2024 et début 2025. Au-delà du tarif, les offres comprennent :

  • une relation client optimisée avec des objectifs qualité ambitieux s’agissant de la plateforme téléphonique de gestion mais aussi les délais et les modalités de traitement des demandes (appli mobile tout service, demandes simplifiées (ex : photo de factures))
  • l’existence d’un réseau de soins,
  • l’assistance de Mondiale assistance.
  • Enfin, pour offrir une sécurité juridique renforcée, le cahier des charges prévoit l’accompagnement de l’UFC-Que Choisir en cas de réclamations non résolues.

L’achat groupé est ouvert, pendant 3 mois (jusqu’au 08/08/2023), à toutes les personnes désireuses d’avoir une complémentaire santé individuelle attractive financièrement et sécurisée juridiquement.

Les simulations, permettant d’avoir un devis personnalisé, sont bien évidemment gratuites et sans engagement sur www.quechoisirensemble.org. Indépendance financière oblige, en cas de souscription, une participation aux frais d’un montant forfaitaire de 50 euros TTC, incluse dans le prix de la complémentaire, sera demandé aux souscripteurs.

L’UFC-Que Choisir de la Sarthe invite donc les consommateurs à faire jouer leur pouvoir de marché et à participer massivement à la campagne « Complémentaire santé ensemble ».

 

[1] La loi n° 2019-733 du 14 juillet 2019 relative au droit de résiliation sans frais de contrats de complémentaire santé permet aux assurés de résilier, après un an de souscription, leur contrat de complémentaire santé, à tout moment, sans frais ni pénalité.

[2] Immatriculée à l’ORIAS 16000685, et légalement habilitée à présenter des contrats d’assurance

Evelyne Gaubert, Président, UFC-Que Choisir de la Sarthe

8 juin 2023