UFC-QUE CHOISIR DE LA SARTHE

L’assurance protection juridique

La garantie protection juridique est une assurance qui vous permet d’obtenir des informations juridiques sur un sujet ou de trouver une solution amiable dans un litige qui vous oppose à un tiers. Plus d’explications avec Sylviane Boulière et Françoise Grimard de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe.

Lire aussi notre article du 15/12/2022.

30 janvier 2023

Je ne suis pas une data!

#JeNeSuisPasUneData :

Avec l’UFC-Que Choisir de la Sarthe, reprenez le contrôle de vos données personnelles

Dans le cadre de la journée de la protection des données, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe lance une campagne de mobilisation #JeNeSuisPasUneData qui propose un outil innovant et gratuit (1) qui permet à chaque internaute de découvrir concrètement quelles sont les données personnelles collectées par les plateformes qu’il utilise, mais aussi et surtout, d’exercer ses droits de rectification, de suppression, et à l’oubli… L’objectif est clairement qu’ils reprennent le contrôle.

Ils ont fait de nous des datas

Quelles sont les données personnelles dont Facebook, Netflix, Instagram, UBER, Tinder et bien d’autres disposent ? Quel portrait-robot font-elles de vous ? Si les consommateurs ont conscience de la collecte de données dont ils sont l’objet dans leur quotidien, ils sont loin d’en mesurer l’ampleur et surtout l’exploitation qui en est faite. Il est primordial que les consommateurs réalisent l’importance des données qu’ils laissent sur Internet et les conséquences que cela peut impliquer sur leur vie, dans un contexte, en outre, de cybercriminalité en pleine expansion.

À travers la campagne #JeNeSuisPasUneData, financée par son Fonds de dotation alimenté par les dons, l’UFC-Que Choisir entend donc éveiller les consciences en révélant quels sites détiennent quelles informations et surtout mobiliser les internautes, en facilitant leur démarche pour exercer leurs droits.

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(1) https://respectemesdatas.fr/

Pour Evelyne GAUBERT , Présidente de l’UFC Que Choisir de la Sarthe : « Les géants du web ont fait de nous des datas, mais ça n’est pas une fatalité. Aujourd’hui, il est temps de renverser la tendance, de réagir en reprenant la main sur nos données personnelles. Nous avons des droits, exerçons-les. »

Reprenons le contrôle, mobilisons-nous

En vigueur depuis 2018, le règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), encouragé par l’UFC-Que Choisir, a permis de renforcer les droits des consommateurs quant à l’accès et la maîtrise de leurs données personnelles… Mais trop peu les exercent par méconnaissance et/ou sentiment de complexité.

L’UFC-Que Choisir de la Sarthe entend donc jouer le rôle de facilitatrice et lance un appel à la mobilisation à travers sa campagne et son outil. Reprenez le contrôle de vos données, rendez-vous sur : www.jenesuispasunedata.fr.


26 janvier 2023

Vente de CBD, quel est le discours des commerçants?

Le CBD est-il vendu de manière honnête ? L’UFC Que Choisir a mené l’enquête.

Pendant plusieurs jours, des enquêteurs se sont rendus anonymement dans les pharmacie et les commerces de CBD pour tester le discours des commerçants vis à vis de cette substance. Babette Hops, de l’UFC Que Choisir en Sarthe explique en détails


Lire notre enquête du 4 décembre 2022

23 janvier 2023

Complémentaires santé : Les cotisations flambent à plus de 7 % en 2023

Alors que l’inflation atteint des sommets (5,2 % en 2022) (1), l’UFC-Que Choisir dénonce le coup de boutoir sur le pouvoir d’achat des consommateurs causé par une nouvelle forte hausse des tarifs des complémentaires santé en 2023, encore plus importante que l’inflation. Pour endiguer ce phénomène alarmant, l’association demande au Gouvernement d’imposer davantage de transparence dans les avis d’échéance émis par les organismes, et d’assurer un meilleur pilotage du 100 % santé, en particulier concernant l’optique.

Une hausse médiane de 126 € en 2023

L’UFC-Que Choisir a réalisé une enquête sur les tarifs des contrats individuels de complémentaires santé, en appelant les consommateurs à transmettre leurs avis d’échéance pour les années 2022 et 2023. Sur la base de l’analyse de 594 contrats individuels, portant sur 128 organismes, une hausse médiane entre les tarifs de 2022 et ceux de 2023 de 7,1 % a été constatée, soit une augmentation médiane des cotisations de 126 € sur l’année. 20 % des consommateurs ont même subi une hausse supérieure à 240 €.

Au sein des différentes familles de complémentaires, les assureurs (+9 %) et les institutions de prévoyance (+8,8 %) ont davantage augmenté leurs tarifs que les mutuelles (+6,9 %) (2). Toutefois, les hausses médianes varient d’un organisme à l’autre, par exemple les trois leaders du marché ont eu la main lourde cette année : Harmonie Mutuelle a augmenté ses tarifs de 9,1 %, Malakoff Humanis de 7,2 %, et Axa France de 9,7 %.

Des avis d’échéance qui empêchent d’y voir clair dans les augmentations

Depuis 2019, les tarifs des complémentaires santé individuelles ont flambé de 23 %, soit à un rythme plus de deux fois supérieur à l’inflation (10,6 %) (3). Dans ce contexte, et alors que le rapport qualité-primes est très variable selon les organismes (4), les consommateurs ont plus que jamais intérêt à comparer les offres pour faire jouer la concurrence via la résiliation à tout moment obtenue par l’UFC-Que Choisir. Pourtant, compte tenu d’un encadrement laxiste, la quasi-totalité des complémentaires santé taisent ou masquent sur les avis d’échéance les informations qui permettraient aux consommateurs de parfaitement prendre conscience de l’intérêt de faire jouer la concurrence.

L’analyse des avis d’échéance les plus communs (5) met en évidence qu’aucun ne mentionne la hausse tarifaire en euros ou en pourcentage, une précision loin d’être anodine alors que ces contrats sont renouvelés chaque année par tacite reconduction. Ce manque de clarté concerne également les taux de redistribution et les frais de gestion des organismes. En effet, une seule complémentaire affiche ces informations à proximité du montant annuel de cotisation, alors que les autres les relèguent au mieux au verso, voire au sein de courriers verbeux. Pas étonnant, compte tenu du fait que les frais de gestion représentent encore en moyenne 21 % des cotisations et n’ont toujours pas diminué depuis 2015 (6).

Optique : hausse des cotisations et du reste à charge ; double peine pour l’assuré

Cette spirale inflationniste s’explique notamment par un mauvais pilotage du 100 % santé : en effet, si la réforme a créé des paniers de soins de qualité et sans reste-à-charge pour l’audioprothèse, le dentaire et l’optique, son équilibre en termes de cotisations payées par les usagers reposait sur une prévision de baisse des dépenses sur l’optique qui n’a pas été atteinte (7).

Comment s’en étonner, quand on sait que trop de professionnels préfèrent protéger leurs profits plutôt que de jouer le jeu de la réforme ? À cet égard, rappelons que dans le prolongement des alertes de l’UFC-Que Choisir (8) et de la répression des fraudes (9), la Cnam a établi qu’en 2022 plus de la moitié des opticiens étudiés ont manqué à leurs obligations de présenter suffisamment d’offres 100 % santé en magasin et/ou sur les devis (10).

En conséquence, les usagers subissent une double peine. Non seulement leurs cotisations flambent, mais leur reste à charge moyen sur l’optique a même augmenté de 18 € depuis 2019 (11). Sur la même période, il n’y a pas eu non plus de réduction des renoncements à s’équiper en optique pour cause de reste à charge, un objectif affiché par la réforme.

Sur la base de ces constats, il est impératif de garantir aux consommateurs un exercice effectif de leur droit à la résiliation, ce qui suppose d’encadrer les avis d’échéance, afin qu’ils indiquent clairement les augmentations tarifaires et la performance des organismes (taux de redistribution, taux de frais de gestion et leur comparaison avec les taux moyens de la profession).

Parallèlement, l’association appelle le Gouvernement à assurer un meilleur suivi de la réforme du 100 % santé, en y associant les représentants des usagers, afin d’éviter une inflation incontrôlée des tarifs des complémentaires santé.

UFC-Que Choisir


(1) Source : INSEE.

(2) L’UFC-Que Choisir calcule l’inflation réellement subie par les usagers, c’est-à-dire l’évolution entre leur cotisation 2022 et leur cotisation 2023, à offre inchangée. Cette inflation prend en compte l’augmentation générale des tarifs, mais aussi celle appliquée en fonction de l’âge des assurés (de + 1 % à + 2 % par an). Elle diffère des chiffres communiqués par certains organismes complémentaires, plus théoriques, qui calculent des hausses de tarif à âge inchangé. Ainsi, la Mutualité française, organisme fédérant la majorité des mutuelles, a avancé une hausse moyenne de 4,7 %, et 4,1 % pour les seuls contrats individuels (pour un assuré théorique du même âge en 2023 qu’en 2022). Toutefois, cette enquête ne couvre que les mutuelles, qui ne représentent que la moitié du marché des complémentaires santé, et ne porte que sur 35 mutuelles sur 350 existantes, alors que le champ de l’UFC-Que Choisir inclut également les assureurs et institutions de prévoyance.

(3) Estimation pour les complémentaires santé d’après les avis d’échéance recueillis tous les ans par l’UFC-Que Choisir ; hausse de l’IPC publié par l’Insee.

(4) Les cotisations peuvent en effet varier du simple au double entre deux organismes pour un même profil (âge et besoins), par exemple entre 159,42 € et 313,82 € par mois pour un couple de 68 ans habitant dans l’ouest de la France et à faibles dépenses optique, fortes dépenses dentaires, et sans audioprothèses. Voir Redistribution des complémentaires santé. L’UFC-Que Choisir part en chasse contre l’opacité, novembre 2020.

(5) Ceux des 10 organismes les plus souvent rencontrés dans les documents transmis par les consommateurs : Harmonie Mutuelle, Aesio Mutuelle, MIE, MGEN, Malakoff Humanis, Groupama, Macif, Apicil, La Mutuelle Générale, MGC.

(6) Avec une moyenne de 20 % ; 21 % en 2021 pour les seuls contrats individuels. Rapport 2022 sur la situation des organismes complémentaires assurant une couverture santé, Drees, Décembre 2022.

(7) Les autorités avaient annoncé un coût de ce dispositif de 80 M€ pour les complémentaires en cumulé entre 2019 et 2023. Cette estimation reposait sur une prévision très optimiste de baisse des dépenses en optique sur la période : -515 M€ annoncés entre 2019 et 2021, contre -308 M€ réalisés. La réforme du 100 % santé, Cour des comptes, Juillet 2022.

(8) Opticiens, à la traîne sur le 100 % santé, Que Choisir, avril 2022.

(9) Réforme du « 100 % Santé » : plus d’un millier de contrôles réalisés par la DGCCRF auprès des opticiens et des audioprothésistes pour faciliter l’accès aux soins et préserver le pouvoir d’achat des ménages, DGCCRF, Juillet 2022.

(10) La réforme du 100 % santé, Cour des comptes, Juillet 2022.

(11) Reste à charge moyen par bénéficiaire consommant. Baromètre 100 % santé, 2e édition, Unocam, Juin 2022.

22 janvier 2023

Nos droits en matière de retards de vols.

Une compagnie aérienne doit respecter les horaires de ses vols. Si votre vol est retardé, la compagnie doit vous prendre en charge et vous indemniser. Sous quelles conditions et comment ? Éléments de réponse avec Sylviane Boulière et Françoise Grimard de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe.

17 janvier 2023

Relèvement du seuil de revente à perte : Halte au braquage du pouvoir d’achat des consommateurs !

Alors qu’une proposition de loi entend prolonger pendant 3 années supplémentaires le relèvement de 10 % du seuil de revente à perte (SRP) pour les produits alimentaires, l’UFC-Que Choisir s’indigne, dans le contexte d’inflation galopante, de cette ponction opérée au seul bénéfice de la grande distribution. L’incapacité de cette mesure à soutenir le revenu agricole ayant été par ailleurs largement démontrée au cours des quatre dernières années, l’Association appelle les députés à la responsabilité en votant contre sa reconduction.

En février 2019, au prétexte de défendre le revenu agricole, la loi EGAlim a relevé de 10 % le seuil de revente à perte, obligeant les enseignes de la distribution à réaliser une marge minimale de 10 % sur les produits alimentaires. L’UFC-Que Choisir avait pourtant dès l’origine souligné le caractère inflationniste de cette mesure – puis démontré qu’elle avait infligé aux consommateurs une dépense supplémentaire sur deux ans de 1,6 milliard d’euros(1) – et dénoncé le caractère illusoire d’une répercussion sur les revenus des agriculteurs de la marge supplémentaire réalisée par la grande distribution. Cette mesure, prorogée une première fois en 2021, arrivant à échéance mi-avril, une proposition de loi(2) issue de la majorité parlementaire et inspirée par le Gouvernement sera examinée à l’Assemblée nationale la semaine prochaine et prévoit notamment de la prolonger pendant encore 3 ans.

Une ponction qui aggrave l’inflation subie par les consommateurs

Alors qu’en 2021 les ménages consacraient 5 899 € par an pour l’achat de produits alimentaires(3), l’UFC-Que Choisir a calculé qu’au cours des 12 derniers mois les consommateurs ont subi sur l’alimentation une inflation considérable de 7,4 %(4), encore plus marquée en fin année. Cette forte augmentation les a obligés soit à augmenter leurs dépenses, soit à faire des arbitrages douloureux en limitant leurs achats et en se privant plus particulièrement des denrées les plus chères (viande, fromages, charcuterie, légumes…). Dans ce contexte, il est absolument inadmissible que soit reconduit le relèvement du SRP du fait de son impact inflationniste, qui frappe en premier lieu les ménages modestes pour lesquels le budget alimentaire pèse encore plus lourd (18,3 % du budget contre 16,1 % pour l’ensemble des ménages(5).

Relèvement du SRP :  un chèque en bois pour les agriculteurs

Il est d’autant plus ubuesque d’aggraver cette saignée sur le pouvoir d’achat des consommateurs que l’impact inflationniste est désormais non seulement admis par les acteurs professionnels (ILEC(6), ANIA) mais surtout par les rapports officiels(7), notamment celui du Sénat(8) demandant que les filières alimentaires qui le souhaitent puissent être exemptées du relèvement du SRP. Quant aux syndicats agricoles, ils affirment tous « ne pas avoir vu la couleur(9) » de la redistribution de cette marge, mettant en évidence les limites pourtant prévisibles de la « théorie du ruissellement » ! Prolonger cette mesure serait d’autant moins justifiable qu’avec les dispositions de la loi Egalim 2 spécifiquement dédiées au rééquilibrage des négociations commerciales, il existe désormais des outils précis qui n’ont plus qu’à être appliqués et contrôlés pour assurer à nos producteurs des rémunérations leur permettant de pérenniser leur activité.

Au vu de l’impact inflationniste avéré pour les consommateurs et de son inutilité pour défendre le revenu agricole, l’UFC-Que Choisir exhorte les députés à ne pas voter la reconduction du SRP majoré.

 

UFC-Que Choisir


(2) Proposition de loi visant à sécuriser l’approvisionnement des Français en produits de grande distribution

(3) Consommation effective des ménages par produit aux prix courants et indice 001759963 -Insee décembre 2022

(4) Moyenne des évolutions de prix sur 12 mois glissants entre janvier 2022 et décembre 2022 sur un panel de 80 produits alimentaires relevés sur les sites drive de la distribution.

(5) Insee Focus n° 203 – Septembre 2020

(6) L’ILEC, le syndicat regroupant les plus grandes marques de produits de grande consommation, estime à un milliard d’euros l’inflation engendrée en 2019 sur les denrées alimentaires – Rapport d’information sur l’évaluation de la loi EGALIM – Assemblée Nationale – Février 2022

(7) Premier et deuxième rapport d’expertise du Gouvernement sur la loi EGALIM – Septembre 2020 et février 2022

(8) Rapport d’information n° 799 relatif à l’inflation et aux négociations commerciales – Commission des affaires économiques – Sénat juillet 2022

(9) Rapport d’information sur l’évaluation de la loi EGALIM – Assemblée Nationale – Février 2022

14 janvier 2023

Les moules en silicone dangereux pour la santé?

L’UFC-Que Choisir a publié en décembre dernier un test exclusif sur les moules en silicone révélant qu’une large majorité des références analysées peuvent contaminer les aliments à des niveaux très élevés ou contenir des substances particulièrement nocives. Sur la base ces résultats, l’Association enjoint les autorités européennes de définir sans délai un cadre réglementaire strict et demande à la DGCCRF de réaliser des contrôles renforcés.

Pour en parler cette semaine au micro de RCF, Quentin Déry et Françoise Grimard de l’UFC Que Choisir de la Sarthe.

Lire notre article du 23/11/2022.

10 janvier 2023

Application J’ACCEPTE !

J’ACCEPTE !: un jeu gratuit à promouvoir sans modération !

Pour sensibiliser les consommateurs à la protection de leurs données personnelles, en 2018, l’UFC-Que Choisir innovait et lançait J’ACCEPTE, un  jeu pédagogique/serious game accessible en ligne. Un joli succès : plus de 70.000 utilisateurs, à ce jour. Et ce n’est pas fini !

J’ACCEPTE a conservé toute sa fraîcheur : une version actualisée, plus fluide, est déjà en ligne.

8 janvier 2023

Fin du tarif réglementé du gaz au 01/07/2023.

L’ensemble des tarifs réglementés de gaz naturel sera supprimé le 1er juillet 2023. Pour les clients résidentiels (et les copropriétés consommant moins de 150 000 kWh ), les tarifs réglementés de gaz naturel disparaitront le 1er juillet 2023.

On fait le point cette semaine sur RCF avec l’ UFC-Que Choisir de la Sarthe.

Voir aussi notre article du 03/12/2022

Et notre vidéo

2 janvier 2023

L’UFC-Que choisir de la Sarthe recherche des bénévoles

Notre association recherche des bénévoles.

Comme les 154 autres associations locales (au total, plus de 150 000 adhérents !) réparties sur toute la France, notre association est animée par des bénévoles.

Nous avons besoin de vous  :

  • pour informer, conseiller, défendre les consommateurs dans le traitement de leurs litiges (banque, construction, énergies renouvelables, automobile…) ;
  • pour participer à nos actions dans le domaine de l’environnement ;
  • pour nous aider à être présent sur les réseaux sociaux ;
  • pour renforcer notre équipe d’enquêteurs ;
  • pour des activités liées à la gestion de l’association (maintenance informatique – secrétariat – …)

Sensibilisés aux actions de proximité, vous voulez participer à ces actions et rejoindre notre équipe locale de
bénévoles  ?  Contactez-nous au siège de l’association au 02 43 85 88 91 ou par mail : contact@sarthe.ufcquechoisir.fr

UFC QUE CHOISIR DE LA SARTHE

21 rue Besnier
72000 Le Mans

 

1 janvier 2023