UFC-QUE CHOISIR DE LA SARTHE

Etiquetage

Futur affichage environnemental : 27 fabricants et 8 enseignes testent le Planet-score, modèle plébiscité par les consommateurs

Alors que les pouvoirs publics devront très prochainement choisir le futur étiquetage environnemental prévu par la loi “Climat”, 27 fabricants et 8 enseignes lancent aujourd’hui une expérimentation pour afficher le Planet-score de 1000 produits alimentaires sur plusieurs sites de e-commerce d’ici la fin de l’année.

Notre collectif d’associations salue la dynamique de transparence et de progrès dans laquelle s’inscrivent ces entreprises en faisant le choix de calculer les scores de leurs produits et de donner cette information à leurs clients.

Les travaux menés par l’ITAB ont prouvé que, par rapport aux autres modèles proposés, le Planet-score permet de mieux différencier l’impact environnemental entre différents produits. Le sondage réalisé avec l’UFC-Que Choisir révèle également que 87% des consommateurs seraient guidés dans leurs achats par le Planet-score. Compte tenu de ces points forts, nos organisations appellent l’ADEME et le Ministère de l’Environnement à s’inspirer des modalités de calcul et du format du Planet-score pour le futur affichage officiel.

Une méthode robuste et efficace pour comparer les produits entre eux

Proposé dans le cadre de l’expérimentation officielle sur l’affichage environnemental, le Planet-score permet de corriger les biais et les lacunes de l’analyse du cycle de vie (ACV). Il intègre dans son calcul des enjeux absents de l’ACV, comme les impacts des pesticides sur la biodiversité et sur la santé humaine.

Par ailleurs, il donne la possibilité de comparer des produits d’une même catégorie (ex : des salades bio versus des salades non-bio), ce qui n’est pas le cas des autres étiquetages. Pour les produits animaux, le Planet-score précise également le mode d’élevage en se basant sur des critères de bien-être animal (par exemple des oeufs plein-air versus des oeufs de poules en cages).

Un visuel largement préféré par les consommateurs

Défini à l’issue de tests conso réalisés en partenariat avec Lidl et Biocoop dans leurs points de vente, le format du Planet-score permet d’identifier en un clin d’oeil l’impact d’un aliment. C’est également un outil éducatif permettant d’expliciter la notion d’impact environnemental, en donnant la décomposition du score selon les principaux enjeux : le climat, l’impact sur la vie sauvage (biodiversité), la toxicité des pesticides ainsi que le mode d’élevage.

Le test réalisé par l’UFC-Que Choisir sur 5 propositions d’étiquetage montre que le Planet-score arrive largement en tête des préférences des consommateurs (voir annexe).

Un test en grandeur réelle sur 1000 produits, 40 marques alimentaires et 8 distributeurs

35 entreprises, dont 8 distributeurs : Biocoop, Lidl, Naturalia, Franprix, La Vie Claire, Monoprix, Naturéo et Greenweez représentant plus de 40 marques (voir la liste en fin de communiqué), s’engagent aujourd’hui pour tester le Planet-score sur une partie de leurs gammes afin de contribuer à un affichage environnemental rigoureux. Par ailleurs, La Note Globale et INTERBEV testeront le Planet-score sur un certain nombre de filières, pour enrichir les données déjà disponibles. Notre collectif salue la mobilisation de ces entreprises et de ces filières et appelle l’ensemble des acteurs de l’agroalimentaire à tester à leur tour le Planet-score.

Notre collectif salue la mobilisation de ces entreprises et de ces filières et appelle l’ensemble des acteurs de l’agroalimentaire à tester à leur tour le Planet-score.

UFC-Que Choisir

1 novembre 2021

Etiquetage nutritionnel simplifié : un antidote fiable, simple et efficace contre le marketing alimentaire

Alors que le développement préoccupant en France du surpoids, de l’obésité, du diabète et des maladies
cardiovasculaires, trouve notamment son origine dans une alimentation trop riche en sucres, en graisses
saturées et en sel, il est crucial d’avancer sur une meilleure information des consommateurs quant à la
qualité nutritionnelle des produits alimentaires.

code coloriel

Le système d’étiquetage nutritionnelle simplifié, pourrait s’il est adopté, permettre aux consommateurs d’être informés de façon simple sur la qualité nutritionnelle des produits.

Ce dispositif coloriel est un système d’étiquetage volontaire comportant cinq couleurs allant du vert au rouge selon les caractéristiques nutritionnelles de l’aliment (calories, graisses saturées, sucres, sel …).

Dans la perspective du projet de Loi de Santé Publique qui pose le principe d’un étiquetage nutritionnel simplifié sans en définir les modalités, l’UFC-Que Choisir rend publics dans son mensuel n° 534, de mars 2015, et sur le site quechoisir.org, les résultats plus que probants de son test exclusif du modèle coloriel proposé dans le cadre de la Stratégie Nationale de Santé.

Forte de cette analyse, elle demande aux Parlementaires de consacrer ce dispositif au sein de la Loi.

Actuellement, choisir un produit alimentaire pour sa qualité nutritionnelle demande de gros efforts de recherche, de la concentration, une bonne vue… pour trouver parmi la foule d’ « informations » données sur l’emballage, celles qui seront pertinentes et même une fois trouvées, ce ne sera sans doute pas suffisant pour comparer deux produits entre eux.

Un outil informatif et éducatif réellement au service des consommateurs :

Outil informatif

Les tests de l’UFC-Que Choisir le montrent : alors que les recommandations officielles de ne pas manger trop gras, trop salé ou trop sucré sont en réalité souvent complexes à mettre en œuvre, elles deviennent enfin à portée de main grâce à cet étiquetage qui, à rebours des idées reçues, décerne des pastilles vertes à de nombreux plats préparés tels que le ‘Cassoulet mitonné’ de ‘Williams Saurin’ ou le ‘Petit salé aux lentilles’ de ‘Fleury Michon’. A l’inverse, on pourra limiter les occasions de consommation de la barre céréalière ‘ Frosties’ écopant du rouge, comme le ‘Brownie chocolat pépites’ de ‘Brossard’ pour préférer par exemple les ‘Muffins recette anglaise’ de chez ‘ Carrefour’ qui, même avec de la confiture, arborent un macaron jaune tout à fait recommandable dans le cadre d’une consommation quotidienne.

La démonstration étant faite de l’efficacité de ce système pour identifier l’intérêt nutritionnel des aliments et plus généralement pour construire, en pleine connaissance de cause, une alimentation équilibrée au quotidien, l’UFC-Que Choisir demande , en conséquence, qu’il devienne par la Loi le modèle officiel d’étiquetage simplifié.

Et vous qu’en pensez-vous ?

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Retrouvez l’étude et les propositions de l’UFC-Que Choisir sur ce thème sur le site quechoisir.org

Evelyne Gaubert, Présidente de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe

 

25 février 2015

Etiquetage des denrées alimentaires

Savoir décrypter les étiquettes pour consommer mieux

Les informations données sur les emballages des produits alimentaires sont tellement nombreuses que le consommateur se laisse souvent guider par les seules informations de marketing apposées volontairement par le fabricant. Pourtant, un certain nombre d’informations règlementaires peuvent permettre au consommateur d’identifier, de comparer, de choisir en connaissance de cause.

A rechercher en premier, si vous voulez savoir ce que contient réellement le produit : la liste des ingrédients. Elle est obligatoire, précédée de la mention ingrédients.

On doit y indiquer la totalité des ingrédients utilisés, même à dose infime tels que les additifs. C’est une question de sécurité sanitaire, certains ingrédients pouvant être allergisants. Il est important qu’ils soient indiqués aux consommateurs allergiques à ces composés.
Ces ingrédients sont cités dans l’ordre décroissant de leur importance pondérale. Regardez donc les ingrédients qui apparaissent dans les premiers de la liste. Si le sucre arrive en premier, le produit est très sucré. Si ce sont les matières grasses, le produit est très gras.

De plus, pour tout ingrédient de la recette qui est mis en avant volontairement, ou qui est un ingrédient caractéristique du produit, le fabricant doit indiquer la quantité minimale de cet élément dans le produit.
Cela permet de vérifier la justesse de certaines allégations mises en avant sur l’emballage. Par exemple : « yaourt plein de bons fruits » ingrédients principaux : yaourt, poire 11%, sucre 9,4%, sirop de glucose et fructose 2,3% … la proportion de sucre est en fait plus importante que la proportion de fruits qui reste peu importante dans le produit. Vous allez donc consommer une proportion minime de fruits.

A rechercher également si vous voulez comparer des produits entre eux, par exemple, voir si la quantité de matière grasse est plus ou moins importante : l’étiquetage nutritionnel.

Ce sont les tableaux de chiffres que l’on voit de plus en plus souvent sur les emballages de produits alimentaires. Ils nous informent sur le contenu nutritionnel des aliments : au minimum protéines, matières grasses (lipides), glucides (sucres lents et sucre), sel, et dans certains cas vitamines, minéraux… La nature des informations est définie par la règlementation européenne.
Il n’est pas obligatoire en Europe, sauf quand le fabricant mentionne sur l’emballage ou dans une publicité les qualités nutritionnelles de son aliment, par exemple s’il indique qu’un produit est « riche en calcium ».
Cependant les fabricants commencent à le mettre de plus en plus souvent sur les produits à titre volontaire.

Comment lire l’étiquetage nutritionnel ?
La présentation en est complexe et souvent difficile. Deux types de tableaux existent : la présentation de base et la présentation détaillée où les glucides en particulier sont détaillés en sucre complexe (amidon) et sucres.
L’indication de la valeur énergétique (les calories) n’apporte pas grand-chose. Par exemple, 100 g de sucre et 100 g de pain complet ont la même valeur énergétique, donc apportent la même quantité de calories mais avec des intérêts nutritionnels diamétralement opposés.

Trois « trucs » pour extraire de cette accumulation de chiffres, les informations vraiment utiles :

1 – lire avant tout les matières grasses, le sucre et le sel
Pour rappel, les repères nutritionnels journaliers (RNJ) pour une femme adulte sont : 2000 Kcal, 70 grammes de lipides (pas plus de 1/3 de saturés), 90 grammes de sucre (1 morceau = 5 g), 6 grammes de sel.
Les matières grasses figurent obligatoirement dans tous les étiquetages nutritionnels mais souvent sous le nom de lipides. Quand il y a plus de 10 % de matières grasses dans un produit, il est considéré comme gras.
Le sucre : il n’est pas obligatoire dans l’étiquetage nutritionnel de base mais apparait dans l’étiquetage complet.
Ex : il apparait sur les céréales du petit déjeuner pour enfants, qui pour la plupart contiennent au moins 33 % de sucres simples soit au moins 1/3 de sucre !
Le sel apparait en général sous le nom de sodium.

Quand aux vitamines et minéraux, une alimentation variée en apporte suffisamment. La plupart des vitamines ajoutées sont inutiles et ne servent qu’à des fins de marketing.

2 – ne lire que la colonne pour 100 g.
Elle donne les teneurs en matières grasses, protéines, glucides, etc… pour 100 g de produit, donc un pourcentage facilement traduisible en proportion.
Ex : dans le tableau étiquetage nutritionnel d’une barre chocolatée pour enfant, vous lisez lipide 33 g (pour 100g), cela signifie que le produit est constitué à 33 % de matières grasses, soit un tiers de gras.

3 – arrondissez les chiffres (oubliez la virgule)

Les limites de l’étiquetage nutritionnel

Il n’est pas obligatoire, ce qui limite les produits que le consommateur peut comparer entre eux.
Le vocabulaire en est compliqué. Une proportion minime des informations est nécessaire.
Il est exprimé en pourcentage, donc quelque soit la taille de la portion, l’analyse reste la même.

Les étiquetages nutritionnels simplifiés
De nouveaux étiquetages sont apparus plus facilement compréhensibles malheureusement très variés, ce qui ne facilite toujours pas la comparaison.
Ils abandonnent l’information par rapport aux 100 g. les chiffres expriment ce qu’une portion du produit apporte par rapport à la quantité recommandée pour la journée.
Ex : pour un verre de 25 cl de soda : l’étiquetage sucre indique que ce verre apporte déjà 29 % de la quantité de sucre maximale préconisée pour une journée. Ils font apparaitre de façon plus explicite sucre, lipides, sel.

Cette information permet aux consommateurs de gérer les quantités consommées. Il ne s’agit pas de se priver d’un produit qui nous fait plaisir, mais de gérer les quantités et la fréquence de consommation.

L’UFC-Que Choisir réclame, au niveau européen, la généralisation d’un étiquetage nutritionnel simplifié et normalisé.

D’autres informations règlementées apparaissent sur les emballages ce sont les fonctionnelles et allégations de santé, par exemple : « le calcium du fromage améliore la densité osseuse ».

Il existe 222 allégations de santé autorisées au niveau européen, ce qui a pour objet de réduire les allégations trompeuses. Les allégations thérapeutiques, par exemple : « le calcium de X guérit de l’ostéoporose », sont interdites.

Généralement ce que disent ces allégations est vrai, mais pour une toute petite partie du produit. Ce qu’elles oublient souvent de dire, c’est que d’autres composés du produit sont moins bons voire néfastes pour notre santé.
Exemple : « le calcium est bon pour la santé de nos os », mais s’il se trouve dans une barre chocolatée ou un gâteau, son intérêt est minime par rapport aux problèmes liés à la surconsommation de sucres ou de matières grasses présentes en grande quantité dans ce produit.
Autre exemple : « seulement X % de matière grasse », vérifiez dans ce cas la teneur en sucre.

Les députés européens ont voté une règlementation applicable dans tous les pays de l’Union, qui réservera progressivement ce type d’argument nutritionnel et de santé aux seuls aliments ayant un faible taux de sucre et de matières grasses. Cette règle n’est pas encore obligatoire. C’est également une demande de l’UFC-Que Choisir.

Evelyne Gaubert, administratrice

 

30 mars 2013

Disponibilité du nourri sans OGM

Disponibilité du « Nourri sans OGM » dans les grandes surfaces de la Sarthe : un choix encore trop restreint

Face aux nombreuses interrogations scientifiques quant à la sécurité des OGM, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe rend publics, un an après la publication du décret autorisant la mention « Nourri sans OGM » sur les produits d’origine animale, les résultats de son enquête exclusive épinglant la trop faible présence en magasin de cet étiquetage pourtant réclamé par les consommateurs .

Les résultats de l’enquête dans la Sarthe

L’UFC-Que Choisir, après avoir contribué à lever l’interdiction de communiquer sur les produits « Sans OGM », a diligenté grâce aux bénévoles et stagiaires de son association locale de la Sarthe, une enquête pour vérifier la disponibilité et la valorisation des produits portant la mention « Nourri sans OGM ». Elle à été effectuée dans 17 grandes surfaces (8 enseignes), situées dans les agglomérations du Mans et de Château du loir. Force est de regretter que l’appétit pour des produits ‘sans OGM’ n’a pas été rassasié.

• Marques nationales : le bien maigre panier « Nourri sans OGM ».

Si les rayons de la grande distribution alignent des dizaines de références parmi les aliments recherchés, en revanche s’agissant du « Nourri sans OGM » nos enquêteurs n’ont trouvé dans tous les magasins, que les volailles et les œufs des Fermier de Loué, ainsi que le saumon fumé sous vide de Labeyrie !

• Marques distributeurs : vous avez dit « Sans OGM » ?

Pour ce qui est des marques de distributeur (MDD), sur les 8 enseignes visitées, pas moins de 6 font l’impasse sur le « sans OGM » ! Dans ce triste palmarès, deux enseignes se distinguent, en bien, en proposant des produits « Sans OGM » sous leurs marques propres : Carrefour et Auchan (œufs, volailles, jambon, poisson).

Si l’indisponibilité actuelle de produits laitiers « Sans OGM » peut s’expliquer par la longueur de la mise en place de cette filière, pour les autres aliments en revanche les professionnels ne peuvent arguer de la récente entrée en vigueur de la réglementation, puisque les contours des modalités de communication du « Sans OGM » étaient connus dès 2008.

• Le « sans visibilité » du « Sans OGM ».

Seuls 3 magasins de la Sarthe sur les 17 aident les consommateurs à trouver les produits « Sans OGM » par des affichages. Quant aux étiquetages figurant sur les produits eux-mêmes, si les produits à marques Carrefour et Auchan bénéficient d’un marquage bien visible, la mention « Nourri sans OGM » des Fermiers de Loué ou de Labeyrie se remarque à peine.

• « Sans OGM » et sans surcoût !

Cette faible disponibilité est en outre d’autant plus regrettable, que notre enquête souligne qu’il n’y a pas de différence de prix entre les deux filières. En effet, au niveau national, le prix du jambon et du saumon fumé sous vide « Nourris sans OGM » sont respectivement 4% moins cher et 0,3% plus cher que leurs homologues conventionnels !

Alors que l’interdiction maintenue jusqu’en 2012 de toute communication vers les consommateurs a fait péricliter les filières « Sans OGM », l’UFC-Que Choisir de la Sarthe refuse que le trop faible investissement des professionnels fasse disparaitre purement et simplement la possibilité pour les consommateurs de manger sans OGM. Au vu de ces éléments, elle réclame le lancement de toutes actions permettant le développement effectif des filières d’alimentation animale sans OGM.

L’UFC-que Choisir est plutôt favorables aux évolutions technologiques qui améliorent le travail des agriculteurs à condition bien entendu que ce ne soit dangereux ni pour eux, ni pour les consommateurs, ni pour l’environnement.
Pour les OGM, aucune expérimentation sérieuse ne permet d’affirmer qu’il n’y a aucun risque ni sanitaire ni environnemental. En l’absence de cette expérimentation, nous serons donc toujours contre.
Malgré tout, même si cette absence de danger était avérée, nous voulons avoir le choix et donc exigeons un étiquetage « sans OGM », visible et sans surcoût.
Nous demandons également que la préservation des ressources génétiques soit effective, que l’agriculteur puisse ressemer des variétés protégées, et que le marché dans le secteur des semences soit concurrentiel.

La confiance des consommateurs ne reviendra réellement que si l’impartialité et l’indépendance des différentes autorités européennes (AESA : autorité européenne de sécurité des aliments) et françaises (ANSES : agence nationale de sécurité sanitaire des aliments) sont réelles. L’actualité récente démontre que l’on peut en douter.

Jean-Yves Hervez, responsable de la commission nationale agriculture et environnement pour l’UFC-Que Choisir

 

30 mars 2013

Air intérieur nouvel étiquetage

Qualité de l’air intérieur : les étiquettes vont « parler » davantage aux consommateurs, prêtez leur attention !

Nouvelle réglementation concernant les produits de décoration et de construction applicable à partir du 1er janvier 2012

Les fabricants sont désormais obligés de déclarer le niveau d’émission de polluants de leurs produits :

  • Classe A : très faibles émissions de polluants
  • Classe A : faibles émissions de polluants
  • Classe B : émissions moyennes de polluants
  • Classe C : fortes émissions de polluants

Vous voulez en faire plus : n’achetez plus de produits de la classe C !

Vous voulez en savoir plus : téléchargez le dépliant sur la nouvelle réglementation.

http://ufc-quechoisir-sarthe.fr/pdf/plaquettenouvelle-reglementation-v9-1-.pdf

4 février 2012