Loi d’urgence contre la désertification médicale : une proposition qui remporte de plus en plus de soutiens
Marre des désert médicaux ! Marre de la difficulté d’accès aux soins ! Marre d’attendre !
De plus en plus d’élus et de citoyens réclame une égalités de traitement des citoyens pour l’accès aux soins.
La proposition de loi , la proposition de loi visant à lutter contre les déserts médicaux, portée par le député socialiste de la Mayenne Guillaume Garot, à l’Assemblé nationale le 20 janvier, a, faute de majorité et de consensus à l’Assemblée Nationale, été rejetée.
Cette proposition de loi du député mayennais sur le sujet prévoyait de réguler l’installation des médecins dans les zones où l’offre de soins « est déjà suffisante« . L’élu proposait aussi d’instaurer une obligation de présence en désert médical pour trois ans pour les jeunes médecins.
L’UFC-Que Choisir de la Sarthe l’affirme : nous devons avoir une politique nationale qui pose le problème du conventionnement des médecins s’installant dans des zones surdotées
Les candidats à l’élection présidentielle et nos futurs élus à l’Assemblé nationale ne pourront pas faire l’impasse sur ce sujet majeur pour la santé des français.
Evelyne Gaubert, Présidente de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe
Questions à se poser avant d’acheter un véhicule électrique
Avec plus de 176 000 voiture immatriculées en Europe en 2021, l’électrique s’impose comme une alternative sérieuse à l’essence et au diesel. Voici un article qui vous permettra d’y voir plus clair sous la forme de questions-réponses.
1 ) Le point sur l’autonomie réelle du véhicule que l’on convoite
Il est important de définir son besoin d’autonomie de son véhicule, car les bornes de recharge sont moins nombreuses que les stations services de carburant et leurs puissances sont très variables.
Les constructeurs indiquent l’autonomie de leurs véhicules suivant le protocole d’homologation WLTP (Worldwide Harmonised Light vehicles Test Procedure) au sein de l’union Européenne et l’autonomie annoncée est donc théorique.
Pour connaître l’autonomie réelle espérée, il faut prendre la capacité de la batterie et la diviser par une consommation électrique qui se situe entre 15 et 20 KW pour une conduite normale.
Pour Exemple : Un véhicule équipé d’une batterie de 82 KW mais utilisable à 77 Kw dispose d’une autonomie théorique de : 77 Kw : 18 = 427 km. Néanmoins pour un bon usage de la batterie et pour éviter sa rapide détérioration les constructeurs préconisent de ne pas descendre la charge en dessous de 20 % de la capacité de la batterie, ni de charger celle-ci à plus de 80 %. Il ne reste donc plus que 60 % de capacité utile soit : 60 % de 427 Km = 256 Km.
Exceptionnellement pour un long trajet et de façon épisodique, il est possible d’utiliser 100 % de la batterie et de descendre à 10 % de charge soit 90 % de charge utile, ce qui amène à une autonomie de 90% X 77 Kw = 69,3 Kw : 18 = 385 Km.
En conclusion, il est important de bien définir l’autonomie que l’on attend de son véhicule et ne pas se référer aux données commerciales des constructeurs, qui pour l’exemple cité est annoncée pour une autonomie de 530 Kilomètres dans les publicités.
2 ) Opter pour des équipements indispensables, faute de quoi l’autonomie sera amputée
Pour un véhicule équipé d’un moteur thermique, c’est le moteur qui lors de son fonctionnement monte en température et permet à l’habitacle du véhicule d’être chauffé.
Pour un véhicule électrique il est impératif de posséder une pompe à chaleur qui va éviter si le véhicule n’en est pas pourvu d’actionner des résistances électriques qui vont puiser leurs ressources sur les batteries. La pompe à chaleur va consommer de l’électricité mais en quantité nettement moindre, ce qui évitera d’amputer l’autonomie du véhicule.
Un toit ouvrant sera utile les mois d’été afin de bénéficier d’une température agréable dans l’habitacle par la captation de l’air frais lors du déplacement du véhicule et évitera une consommation électrique supplémentaire par l’entrainement du compresseur de climatisation.
3 ) L’abonnement à un service de recharge pour bornes
Les constructeurs, à la livraison du véhicule vous proposent leurs services pour que vous puissiez recharger votre véhicule sur les bornes publiques. Bien souvent la première année, l’abonnement est gratuit. La deuxième année, différents services sont proposés, à titre gratuit, mais le coût de recharge au KW est plus élevé, ou service payant mensuel ou annuel en contrepartie d’une réduction du coût de la recharge.
Plusieurs sociétés sont présentes sur ce marché elles proposent différents services payants en fonction de l’usage et des besoins en énergie et en fonction du kilométrage que vous estimez parcourir annuellement.
4 ) Comment pouvoir recharger son véhicule électrique
Il est important d’avoir à son domicile la possibilité de recharger son véhicule, pour cela il y a plusieurs possibilités, suivant le type d’habitat dans lequel vous logez.
A – Premier cas en appartement ou en maison individuelle
S’il s’agit d’une construction récente postérieure au 1 janvier 2012, au moins 10 % des places de stationnement doivent être équipées avec des bornes de recharge pour les immeubles collectifs.
Pour les constructions plus anciennes depuis le 1 janvier 2015, il faut réclamer au syndic de copropriété par lettre recommandée avec AR l’installation d’une recharge, pour véhicule électrique si la résidence dispose d’un parc de stationnement clos et couvert. Cette demande doit être accompagnée d’un descriptif détaillé et d’un schéma de l’installation. Le coût reste à la charge du demandeur, qu’il soit propriétaire ou locataire et la demande doit être discutée en assemblée générale. Les copropriétaires ne peuvent pas s’opposer à l’installation d’une borne de recharge dans l’immeuble. Attention néanmoins si vous êtes locataire un accord du propriétaire est nécessaire.
Deux types d’installations peuvent être installés, d’une part : Une prise de courant renforcée, elle est conçue pour recevoir un courant de charge atteignant 14 à 16 ampères, le coût d’installation se situe aux environs de 400 euros, d’autre part, la borne murale de type « Wallbox », installation recommandée par les constructeurs automobiles, du fait d’une intensité plus importante et d’une sécurité accrue, avec un temps de recharge diminué. Son coût d’installation s’élève entre 1200 et 1500 € environ.
Pour couvrir ces investissements, les particuliers bénéficient d’un crédit d’impôt de 30% avec un maximum de 300 € au titre de la transition énergétique. En copropriété, une aide complémentaire via le dispositif ADVENIR, couvre jusqu’à 50% du coût avec un maximum de 600 € pour un usage individuel et 1300 € pour un usage collectif. Le montant grimpe respectivement à 960 € et 1660 € en cas d’installation d’un système de pilotage énergétique.
B – Deuxième possibilité, les bornes sur la voie publique ou grandes surfaces.
Sur la voie publique ou pour les grandes surfaces, plusieurs types de bornes sont proposées en fonction de la puissance délivrée. Leurs puissances varient de 3 à 43 KW en triphasé pour les prises COMBO et 50 KW et plus pour les prises COMBO CCS.
Plus la borne délivre de puissance moins le temps de recharge est important. Pour connaître le temps de recharge, il faut diviser la capacité de la batterie à recharger par la puissance délivrée par la borne de recharge.
Sur certaines grandes surfaces le coût de la recharge est gratuite, cela incite le consommateur à se rendre dans ces lieux, les autres bornes sont payantes et le coût est différent d’une borne à une autre en fonction de la politique commerciale de la société qui en a la gestion. Avant de recharger il est important de consulter sur les applications les tarifs proposés qui sont facturés à la minute, au KW rechargé etc.
5 ) Quel est le coût de revient d’un véhicule électrique
Le coût de revient en électricité pour un véhicule électrique se situe de 1,80 € à 2,50 € pour 100 kilomètres parcourus. Sachant qu’un véhicule thermique consommant 6 litres pour 100 Km reviendra à 6 X 1,50 = 9 euros soit une économie substantielle d’environ 6,50 € au 100 Km, soit 650 € annuel pour un automobiliste parcourant 10000 Km à l’année.
Alain Bazot sur France Inter
Ce vendredi, Alain BAZOT, président de la fédération UFC-Que Choisir, était l’invité de l’émission « Une semaine en France » sur France Inter.
Il est revenu sur l’histoire de l’UFC-Que Choisir qui a célébré ses 70 ans en 2021, ses combats actuels. Il a également réagi à certains sujets d’actualité concernant les consommateurs.
Déserts médicaux : les mesures incitatives peuvent-elles suffirent ?
La situation de la Sarthe et en particulier de Le Mans métropole, en matière d’accès aux soins, préoccupe les élus qui essaient de trouver des solutions pour y remédier : Santé : Le Mans Métropole investit 22 M€
Certes les maisons médicales sont un plus pour les consommateurs. Elles ont vocation à être incitatives pour attirer de nouveaux professionnels de santé. Mais est-ce là la solution ? Les mesures incitatives ont depuis plus d’une décennie montré leur inefficacité. Une politique nationale d’envergure s’impose.
C’est pour cette raison, que l’UFC Que Choisir appelle, depuis de nombreuses années, les pouvoirs publics à une réforme instituant une condition au conventionnement de nouveaux médecins dans les zones largement dotées.
(voir nos articles sur la situation dans la Sarthe : 2012 – 2016 – 2017)
Evelyne Gaubert, présidente, UFC-Que Choisir de la Sarthe
Déserts médicaux : un sujet toujours d’actualité dans la Sarthe
Cela fait déjà bien longtemps que l’UFC Que Choisir appelle les pouvoirs publics à une réforme instituant une condition au conventionnement de nouveaux médecins dans les zones largement dotées, comme l’ont montré nos différentes enquêtes et études (voir nos articles sur la situation dans la Sarthe : 2012 – 2016 – 2017)
Notre système de santé creuse-t-il les inégalités entre les citoyens ? l’enquête de Cash-investigation , diffusée le 13 janvier sur France 2, met en lumière, dans sa première partie, le sujet des déserts médicaux et fait apparaître les freins existants, en particulier celui des lobbys médicaux
https://www.france.tv/france-2/cash-investigation/3002507-liberte-sante-inegalites.html
Cette émission suscite, certes de nombreuses polémiques et réactions, mais elle a le mérite de poser la question au cœur du sujet : pourquoi existe-t-il encore des déserts médicaux dans un pays comme la France ?
Evelyne Gaubert, Présidente, UFC-Que Choisir de la Sarthe
Les clés pour profiter des soldes en toute sérénité
Les soldes d’hiver ont débuté depuis le mercredi 12 janvier 2022 et prendront fin le mardi 8 février 2022 (sauf exceptions). Durant cette période, nombreux sont ceux qui se font avoir à coup de fausses promotions et de rabais enjolivés.
Ainsi, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe vous donne quelques conseils pour profiter en toute sérénité de la période des soldes.
Tout d’abord, qu’est-ce que les soldes ? Les soldes sont les seules périodes durant lesquelles le commerçant a le droit de vendre son stock à perte. Et durant cette période, il ne peut reconstituer son stock.
Tout d’abord il est obligatoire que le commerçant qui annonce une baisse de prix doit le faire par rapport à un prix de référence qui doit obligatoirement être affiché à côté du prix soldé.
Ce prix de référence doit être loyal (c’est-à-dire que le commerçant doit pouvoir justifier de la réalité des prix de référence des produits soldés en cas de contrôle par les autorités compétentes, à défaut de quoi, le commerçant s’expose à des sanctions.
Deux stratagèmes sont souvent employés pour tromper les consommateurs :
- Le premier concerne le prix de référence. En effet, certains commerçants n’hésitent pas à gonfler ce prix pour laisser croire à une réduction qui n’existe pas, ou qui est moins importante qu’affichée.
- Mais également, on remarque chez certains commerçants la vente de produits de moindre qualité spécialement confectionnés pour la période des soldes. Si elle est moins répandue, elle est aussi plus difficile à déjouer, même après repérage.
Enfin, afin d’éviter les « faux rabais », le mieux est de procéder à un repérage avant les soldes afin de vérifier vous-même que le rabais porte bien sur le prix initial et non pas sur un prix artificiellement gonflé.
Pesticides-Protection des captages pour l’eau potable
Cet événement est organisé par France Nature Environnement (FNE) dans le cadre du plan régional Santé-Environnement, avec la participation de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe, dans un but de sensibiliser la question des éléments entourant l’eau potable ainsi que la suppression de l’usage des pesticides.
Un documentaire de Guillaume Bodin sera projeté au début de l’événement (1h15), suivi d’échanges entre la salle et une tribune qui sera composée de représentants de Sarthe Nature Environnement, de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe, et un agriculteur Bio.
Présidence française du Conseil de l’UE : L’UFC-Que Choisir publie sa feuille de route
Alors qu’Emmanuel Macron ouvre officiellement aujourd’hui la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE) en accueillant le Collège des Commissaires, l’UFC-Que Choisir rend publique sa feuille de route pour une consommation plus responsable et durable. Convaincue que c’est en répondant aux besoins du quotidien des citoyens, que l’Europe pourra regagner leur confiance, l’association appelle le Président de la République à se saisir de la politique de consommation pour faire de cette opportunité un véritable succès pour tous les Européens.
Près de 14 ans après avoir assuré la présidence du Conseil de l’Union européenne, la France occupe à nouveau cette fonction jusqu’au 30 juin 2022. Stratégique, cette position lui permet d’influer sur l’agenda européen et de faciliter les négociations entre États membres pour obtenir des accords qui, s’ils sont ambitieux, auront des conséquences bénéfiques concrètes pour les consommateurs.
Alors que la Commission européenne avait ouvert le champ des possibles en présentant plusieurs réformes clés de la politique de consommation, Emmanuel Macron a totalement fait l’impasse sur ces dossiers phares au cours de son allocution de décembre. L’UFC-Que Choisir entend rappeler au partisan du « Monde d’après », plus sobre et responsable, qu’il ne pourra voir le jour qu’avec l’aide des consommateurs.
Adapter la législation européenne au développement du commerce en ligne
Pour aider les consommateurs à faire face aux défis liés à l’essor du commerce en ligne, la présidence française collaborera à la mise à jour de textes législatifs clés.
La première concerne le règlement sur la sécurité générale des produits. 20 ans après leur entrée en vigueur, ces règles doivent être révisées de toute urgence. Elles doivent notamment s’adapter au développement du commerce en ligne, à l’apparition de nouveaux intermédiaires venant bouleverser le fonctionnement du marché, ainsi qu’aux nouvelles technologies. Alors que l’UFC-Que Choisir a tiré la sonnette d’alarme sur la défectuosité de nombreux smartphones testés (1), ses homologues européens ont démontré (2) que sur un large panel de produits achetés sur les places de marché en ligne, 2/3 d’entre eux présentent de sérieux risques pour les consommateurs (détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone défaillants, jouets contenant des produits chimiques dangereux…). Sans plus attendre, il faut donc mettre à jour cette législation obsolète en clarifiant la responsabilité des places de marché (en cohérence avec le Digital Services Act), en prenant en considération les produits connectés et en renforçant l’efficacité des rappels.
La seconde vise la directive sur le crédit à la consommation. Ces dernières années, de nouvelles formes de prêts irresponsables ont fait leur apparition. C’est notamment le cas de la déferlante des minicrédits sur internet ou des locations de longues durées, dont les dérives criantes en termes de frais, mises en évidence par l’UFC-Que Choisir (3), résultent d’une désolante permissivité de la législation européenne. L’association appelle donc à une extension du champ d’application de la directive afin de mettre fin à leurs passe-droits, à un accompagnement efficace des emprunteurs en difficulté, ainsi qu’à une interdiction du démarchage, technique de vente dangereuse qui conduit à la souscription précipitée de crédits non-sollicités.
Favoriser une consommation responsable
À l’occasion de sa présidence, mais également au-delà, la France doit s’engager en faveur de modes de production et de consommation plus durables. Dans le cadre du paquet énergie-climat (Fit for 55), elle doit œuvrer à la définition de mesures concrètes et ambitieuses, telles que l’instauration d’une obligation de résultat à la charge des professionnels en matière de performance des travaux rénovation énergétique des logements ainsi qu’une taxation de l’énergie plus équitable au service de la transition énergétique.
Les consommateurs sont des acteurs fondamentaux de la transition, et tout doit être fait pour leur donner une information pertinente et fiable leur permettant d’orienter leurs choix de consommation vers les produits les plus respectueux de l’environnement. À ce titre, la présidence française devra non seulement défendre un indice de réparabilité européen ambitieux (4), mais également, impulser une dynamique permettant la mise en œuvre européenne la plus rapide possible de l’indice de durabilité pour les produits électroménagers et du score environnemental pour l’alimentation sur la base de méthodologies robustes, en phase avec les attentes des consommateurs.
Convaincue que défendre les intérêts consuméristes permettra de transformer concrètement le quotidien des Européens, l’UFC-Que Choisir, membre fondateur du BEUC, publie sa feuille de route et entend se mobiliser pour que la PFUE fasse avancer des dossiers clés intéressant les consommateurs, notamment à l’occasion du Sommet européen des consommateurs de février.
TELECHARGER NOTRE FEUILLE DE ROUTE
UFC-Que Choisir
(1) Test de l’UFC-Que Choisir du 23 janvier 2020 : https://www.quechoisir.org/enquete-chargeurs-de-smartphones-risque-d-incendie-et-de-choc-electrique-n75099/
(2) Communiqué de presse du BEUC du 24 février 2020 : https://www.beuc.eu/publications/two-thirds-250-products-bought-online-marketplaces-fail-safety-tests-consumer-groups/html
(3) Communiqué de presse de l’UFC-Que Choisir du 29 avril 2021 : https://www.quechoisir.org/action-ufc-que-choisir-mini-credits-l-ufc-que-choisir-s-attaque-aux-nouveaux-usuriers-n90766/
(4) Après en toute logique avoir reformé l’indice tel qu’il est mis en place actuellement en France. Communiqué de presse de l’UFC-Que Choisir du 14/12/2021 : https://www.quechoisir.org/action-ufc-que-choisir-indice-de-reparabilite-le-consommateur-bien-mal-eclaire-n96968/
Les rendez-vous conso à Changé
L’UFC-Que Choisir organise, avec le Centre socio-culturel François Rabelais de Changé, des ateliers pour proposer un « savoir vert quotidien » aux consommateurs afin qu’ils puissent, par des gestes simples, préserver la nature et donner du sens à leur consommation.
De nombreux écogestes peuvent aisément être adoptés avec des conséquences positives sur notre santé, notre porte-monnaie, notre qualité de vie…
Vous souhaitez participer, choisissez votre atelier, qui se déroulera au Centre Rabelais à Changé (1 Place Victor Hugo) et cliquez sur « Je réservé ». Une participation de 5 euros par personne est sollicitée.
- J’économise l’eau à la maison : mardi 18 janvier de 18h30 à 20h
L’eau est une ressource précieuse à économiser. Elle coûte de plus en plus cher parce que la pollution impose des techniques de potabilisation toujours plus poussées.
Mieux connaître sa consommation d’eau et découvrir des gestes anti-gaspi.
- Je limite ma consommation d’électricité : mardi 1er février de 18h30 à 20h
Réduire sa consommation d’électricité, c’est possible ! Pas de recette miracle, mais un ensemble de trucs et astuces qui donnent des résultats significatifs.
Identifier ce qui pèse le plus sur la facture et repérer les bonnes pratiques.
- Je réduis mes déchets : mardi 5 avril de 18h30 à 20h
Entre la poubelle d’ordures ménagères, les conteneurs de tri sélectif et la déchetterie, on jette beaucoup : 437 kg par habitant et par an. Un bilan insoutenable pour notre planète.
Mieux connaître les bonnes pratiques pour réduire, composter, réutiliser, recycler.
- Je respire un air sain chez moi : mardi 7 juin de 18h30 à 20h
On en parle moins, pourtant l’air de nos logements est souvent plus pollué que l’air extérieur. Le rendre plus sain n’est pas si compliqué !
Repérer les sources de pollution de l’air intérieur et connaître les bons réflexes.