Gaz et électricité – La concurrence aux oubliettes
C’est la débandade sur le marché du gaz et de l’électricité. Les uns après les autres, les fournisseurs d’énergie retirent leurs offres commerciales, voire matraquent leurs clients avec des hausses insensées. Il faut se rendre à l’évidence, la concurrence sur le marché de l’énergie ne marche que par temps calme.
Alterna avait ouvert le bal dès le mois de septembre en retirant son offre gaz compétitive du marché. Son actionnaire principal Sorégies le justifiait ainsi : « Nos tarifs ultra-compétitifs nous ont fait gagner trop de clients […]. Si nous achetions du gaz maintenant pour approvisionner de nouveaux clients alors que les prix du marché de gros sont au plus haut, nous serions contraints de le vendre à perte. »
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Que Choisir
Publié le 14/10/21
La comm’ et la manière chez McDonald’s France : L’UFC-Que Choisir dépose plainte
Dans son combat contre l’instrumentalisation de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) auprès des consommateurs, l’UFC-Que Choisir dépose plainte contre le groupe McDonald’s France devant le Tribunal judiciaire de Paris pour pratiques commerciales trompeuses.
Un logo reconnaissable, des slogans accrocheurs et 1,9 million de repas servis chaque jour qui en font en France le leader de son secteur, « McDo » a développé une communication forte et subtile autour de valeurs flatteuses. Mais la réalité se révèle cependant moins brillante.
Pas de publicités pour et par les enfants, vraiment ?
S’affirmant comme exemplaire, McDonald’s France nie tout recours à des enfants influenceurs (1) et affiche même sa collaboration à l’« EU Pledge », initiative européenne d’autorégulation où les participants s’engagent à ne placer aucune publicité pour des aliments ou des boissons dans les programmes et/ou médias destinés aux jeunes enfants.
McDonald’s s’écarte pourtant de cette ligne de conduite sur les réseaux sociaux où il fait discrètement appel au renfort de jeunes influenceurs pour inciter leurs communautés constituées d’enfants déjà acquis à consommer les produits McDo à l’aide de mises en scènes identiques.
Les plus populaires « jouent » au restaurant à la maison, munis d’impeccables emballages estampillés McDo, ou déballent des colis « surprises » dont ils ne manquent pas, entre deux remerciements appuyés à leur généreux bienfaiteur, de détailler les jouets à retrouver dans les Happy Meal… avec rappel des dates de disponibilité. Le tout sans mentionner l’existence d’un partenariat.
Or, dissimuler la nature publicitaire d’un message, laissant ainsi croire à la communauté d’un influenceur, à un conseil désintéressé, est une pratique commerciale trompeuse sanctionnable (2) et contredit le positionnement vertueux affiché par McDonald’s France.
La perfidie d’un tel manque de transparence s’accroît si la communauté ciblée est composée d’enfants, moins armés que les adultes face à des messages publicitaires cachés. C’est la raison pour laquelle les placements de produit sont proscrits depuis 2010 dans les programmes télévisés destinés aux enfants (3), mais oubliant que les enfants sont exposés aux programmes télévisés tous publics.
À ce jour, les réseaux sociaux s’apparentent à un no man’s land juridique qui profite à l’autorégulation – un choix stratégique des professionnels dont l’UFC-Que Choisir a encore récemment rappelé (4) qu’elle ne suffit pas et a pour objectif d’éviter un encadrement réglementaire contraignant et plus ambitieux (5) !
McDo se présente aux consommateurs en employeur modèle
McDonald’s France s’enorgueillit d’être un des premiers recruteurs de France, vantant à grand renfort de publicités les horaires aménageables et formations « pour un 1er job ou pour plus longtemps ».
Pourtant, depuis de nombreuses années, des mouvements de contestation se multiplient et médias et syndicats épinglent fréquemment le « système » McDonald’s en raison de réalités en-deçà des annonces – qu’il s’agisse de la création nette d’emploi, de la théorique flexibilité des plannings, de sa politique salariale ou plus largement des conditions de travail aggravées par le recours au franchisage.
Avec 80 % de temps partiel quand près de deux tiers des équipiers ne sont pas ou plus étudiants et un taux de démission deux fois supérieur à celui de l’ensemble du secteur de la restauration, c’est surtout la précarité qui s’installe (6).
Parce que l’UFC-Que Choisir n’accepte pas une communication qui fait avaler n’importe quoi aux consommateurs, l’association dépose plainte pour pratiques commerciales trompeuses.
UFC-Que Choisir
(1) Les doubles discours du roi du burger, Que Choisir, avril 2021
(2) Exemple récent : amende transactionnelle versée par l’influenceuse Nabilla BENATTIA-VERGARA
(3) Délibération du CSA depuis expressément entérinée par l’ordonnance n°2020-1642
(4) Obésité infantile – Dites STOP à la publicité pour la « malbouffe », étude parue en octobre 2020
(5) Réseaux sociaux Attention : trafic d’influence, Que Choisir, juin 2021
(6) Notamment Ce que McDo ne dit pas, Que Choisir, octobre 2016 ; Les doubles discours du roi du burger, Que Choisir ; rapport REACT « MacProfits » de janvier 2021
Gaz et électricité – Comment réagir à la hausse des tarifs de l’énergie
Alors que le prix du gaz n’en finit pas de battre des records, l’électricité est appelée à augmenter en février prochain. L’hiver s’annonce onéreux pour tous les ménages, car le fioul suit la même tendance. Que faire ?
La flambée tarifaire la plus spectaculaire concerne le gaz. Après avoir chuté à un niveau historiquement bas, à 4,58 centimes le kilowattheure pour un logement chauffé au gaz en zone 2 en pleine pandémie de Covid, lorsque l’économie mondiale était terrassée par le virus, il culmine aujourd’hui à des niveaux record, encore jamais atteints …
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Que Choisir
Publié le 09/10/21
Réseau ferroviaire : Une politique d’investissements à remettre sur les rails
Alors que 5 millions d’usagers empruntent chaque jour des trains affectés de retards récurrents, l’UFC-Que Choisir a réalisé un bilan de la pertinence de la politique publique d’investissement dans le réseau. Et le constat est alarmant : le réseau dégradé est confronté à des difficultés de financement et de gouvernance qui altèrent la qualité de service pour les consommateurs, particulièrement sur les petites lignes. En conséquence, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe demande une relance des investissements sur le réseau, une gouvernance à même d’encourager des gains de productivité et un soutien aux lignes de desserte fine du territoire, pour un réseau ferroviaire apte à répondre à la demande des usagers.
L’état du réseau pèse sur les performances offertes aux usagers
La dynamique de croissance de la fréquentation ferroviaire s’essouffle ces dernières années. Et pour cause, la politique d’investissement menée depuis le début des années 1980 a privilégié l’extension du réseau au détriment de l’entretien des infrastructures existantes. Au début des années 1980, 1 000 km de voies étaient renouvelés, moins de 500 km l’étaient en 2005 (1), année où le signal d’alarme a été tiré. Le retard accumulé laisse un réseau vieillissant et fragile : en 2019, 23 % du réseau dépassait sa durée de vie optimale (2). Conséquence de cette dégradation, les ralentissements et les arrêts de circulation imposés allongent les temps de transport et pèsent sur la compétitivité du train par rapport à d’autres moyens de transport. Ainsi l’UFC-Que choisir estime qu’en 2018, les usagers ont perdu de l’ordre de 340 millions de minutes lors de leurs parcours en raison de défaillances d’infrastructures (3) !
Au-delà de la qualité de service, le sous-investissement chronique affecte la performance du gestionnaire d’infrastructures, SNCF Réseau. La circulation d’un train en France demande 2,8 fois plus d’agents et 1,7 fois plus de capitaux que dans les pays voisins européens (4). Pour autant, cette sous-performance n’est pas justifiée par l’offre de service offerte aux usagers, altérée en fréquence et en amplitude horaire : la France propose, pour un même niveau de population desservie, 37 % moins de trains, sur une amplitude horaire atrophiée de deux heures (5). Face au retard pris par le gestionnaire dans le tournant des nouvelles technologies, il n’est pas surprenant que les gains de productivité et donc une offre satisfaisante se fassent attendre.
Un endettement qui déraille
Ce sous-investissement est la conséquence de l’équation budgétaire impossible à résoudre à laquelle est confrontée SNCF Réseau : ses recettes ajoutées aux contributions publiques ne couvrent pas ses besoins d’investissements et ses coûts d’exploitation. Face à un soutien public insuffisant, le déséquilibre se solde par un recours à la dette : elle dépassait les 38 Md€ fin 2020. Cette situation est appelée à se poursuivre à moins de proposer une véritable politique de long terme.
La gestion des investissements réclame également une gouvernance solide qui n’est pas au rendez-vous. L’actuel contrat qui lie SNCF Réseau à l’État souffre de failles de conception, d’exécution et de pilotage : des indicateurs opérationnels en construction (dont la productivité de l’entretien) ou en deçà des attentes (dont la longueur des voies soumises à un ralentissement), une trajectoire financière irréaliste, l’absence de mécanismes incitatifs propres à responsabiliser le gestionnaire ou de leviers correctifs… Ces manquements, pointés de longue date par l’Autorité de la régulation des transports, nuisent au bon fonctionnement du système ferroviaire.
Les petites lignes, laissées sur le quai
Parents pauvres du réseau, les petites lignes concentrent les difficultés rencontrées. Leur entretien et leur renouvellement requièrent des efforts massifs, 6,4 Md€ entre 2020 et 2028. Longtemps délaissées, elles regroupent 70 % des sections de voies ralenties, soit 22 % de leur longueur. La vétusté des infrastructures pèse ainsi sur la qualité de service, ce qui accélère la désaffection des usagers au profit de la voiture, et enclenche un cercle vicieux d’abandon du train.
La question de l’efficacité et du dimensionnement du réseau est donc posée. Peu circulées aujourd’hui, la tentation de fermer les lignes de desserte fine est forte, une menace qui pèse sur près de 40 % de ce réseau secondaire. Mais cette décision serait difficilement réversible alors même que les petites lignes posent un véritable enjeu de connexion et de désenclavement des territoires, surtout à l’heure où la priorité est à la décarbonation des transports. Et l’enjeu est de taille, le secteur des transports est le premier émetteur de gaz à effet de serre en France.
Compte tenu des constats dressés, l’UFC-Que Choisir, soucieuse de préserver un ferroviaire à la hauteur des attentes des consommateurs et attachée à un réseau de desserte fine du territoire, adresse aux pouvoirs publics les demandes suivantes :
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Augmenter leur soutien financier à SNCF Réseau pour garantir les investissements nécessaires à la rénovation et à la modernisation du réseau.
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Imposer à SNCF Réseau des critères de performance et des mécanismes réellement incitatifs et crédibles en cas de non-respect de ces derniers.
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Maintenir les lignes de desserte fine dès lors qu’elles répondent à une demande des autorités régionales ou des usagers.
UFC-Que Choisir de la Sarthe
Télécharger l’étude – Pertinence des investissements ferroviaires
(1) D’après le Contrat de performance SNCF Réseau 2017-2026.
(2) Source : Autorité de régulation des transports (hors lignes à grande vitesse).
(3) Estimation de l’UFC-Que Choisir sur l’année 2018 d’après les données les plus récentes de l’Autorité de régulation des transports et de l’Autorité de la qualité de service dans les transports.
(4) UFC-Que Choisir d’après le Benchmark Prorail 2015-2018 sur le panel suivant : Danemark, France, Pays-Bas, Grande-Bretagne, Suède, Suisse. Les résultats complémentaires obtenus pour l’Allemagne ne sont pas plus encourageants.
(5) Sur le panel suivant : Allemagne, France, Italie, Pays-Bas, Suisse et Grande-Bretagne.
Factures énergétiques : L’UFC-Que Choisir dénonce un faux « bouclier tarifaire »
Alors que l’explosion actuelle du tarif réglementé de gaz et celle anticipée pour début 2022 du tarif réglementé de vente de l’électricité appelaient des mesures claires, fortes et pérennes du Premier ministre pour rendre du pouvoir d’achat aux consommateurs, l’UFC-Que Choisir de la Sarthe déplore ses annonces tantôt lacunaires, tantôt faussement protectrices. Prenant acte de l’inquiétante incapacité de l’exécutif à mobiliser les meilleurs leviers pour faire durablement baisser les factures énergétiques, l’association appelle les parlementaires à actionner dans le projet de loi de finances 2022 le levier de la TVA sur la consommation de gaz et d’électricité, et à voter la fin de l’aberration fiscale que constitue l’application de la TVA sur les taxes énergétiques.
Tarifs du gaz : reculer pour mieux payer !
L’annonce d’un gel des prix du tarif réglementé de vente de gaz (TRVG) ne constitue en rien une mesure protectrice du pouvoir d’achat des consommateurs. En effet, si d’ici le printemps prochain les tarifs du TRGV resteront figés au haut niveau actuel, le « lissage » des prix évoqué par le Premier ministre imposera en réalité aux consommateurs de payer par la suite, à une période sans risque électoral, ce qui ne l’aura pas été d’ici-là. Autrement dit, au global les consommateurs ne tireront aucun bénéfice d’un gel des tarifs, ils paieront la note. Le gel des tarifs, le bien mal nommé « bouclier tarifaire », ne trompe personne. Il correspond en réalité à un gel du pouvoir d’achat, dont on ne comprend pas comment le gouvernement pourrait sérieusement se vanter.
Comment se satisfaire de cette annonce qui n’aura trompé aucun consommateur, alors que la seule mobilisation de deux leviers fiscaux, à savoir la baisse de la TVA sur la consommation de 20 % à 5,5 % et la fin de l’application de la TVA sur les taxes frappant spécifiquement le gaz aurait eu pour effet concret de faire baisser la facture annuelle d’un ménage chauffé au gaz de l’ordre de 230 €(1) ?
Tarifs de l’électricité : le gouvernement fait primer les intérêts d’EDF sur ceux des consommateurs
Alors que sur la base d’hypothèses prudentes l’UFC-Que Choisir avait établi (2) que le tarif réglementé de vente d’électricité (TRVE) augmenterait de 10 % début 2022 si rien n’était fait, l’explosion des prix de l’électricité sur le marché international ces derniers jours (3) aurait pu en réalité aboutir à une hausse de 15 % des factures sans action du gouvernement. Dès lors, l’engagement du Premier ministre de plafonner la hausse du TRVE à 4 % via la modulation de la Taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (la TICFE, qui aujourd’hui représente 13 % de la facture) constitue à l’évidence un moindre mal.
Cela étant, outre le fait de montrer par l’exemple que l’utilisation de l’arme fiscale aurait parfaitement pu être prise pour faire baisser le prix du gaz (4), cette mesure, dont rien ne garantit qu’elle soit pérennisée, ne permet pas de mettre un coup d’arrêt à la spirale inflationniste des prix de l’électricité qui ont augmenté de 50 % au cours des 10 dernières années (5), alors que cet objectif aurait parfaitement pu être réalisé en cas de modification de la régulation française du secteur.
En ne modifiant pas le plafond de l’ARENH comme le demande l’UFC-Que Choisir depuis plus de deux ans et comme le permet la loi, le gouvernement acte son choix de ne pas faire pleinement bénéficier les consommateurs de la compétitivité du parc électronucléaire, dont ils ont pourtant financé le déploiement, pour permettre à EDF de vendre chèrement son électricité sur les marchés internationaux. Compte tenu des prix actuels sur ces marchés et le prix de l’ARENH (6), censé refléter les coûts de production du nucléaire, c’est une potentielle plus-value de l’ordre de 4 milliards d’euros que réalise EDF, sur le dos des consommateurs !
Les ersatz de solutions avancées par le gouvernement montrant son aveuglement quant aux problématiques énergétiques rencontrées par les consommateurs, l’UFC-Que Choisir demande aux parlementaires de voter dans le cadre de la loi de finances 2022 :
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La baisse de la TVA sur la consommation de gaz et d’électricité a minima jusqu’à un retour à la normale des prix du gaz et de l’électricité sur les marchés internationaux ;
A CE SUJET, N’HESITEZ PAS A SIGNER NOTRE PETITION CONTRE LA TVA SUR LES TAXES.
De plus, compte tenu de l’actuelle exposition artificielle des factures d’électricité des consommateurs aux marchés internationaux sous l’effet d’une politique délibérée de l’exécutif, l’UFC-Que Choisir interpellera les candidats à l’élection présidentielle pour qu’ils se positionnent sur le sujet.
UFC-Que Choisir de la Sarthe
(1) Estimation de l’UFC-Que Choisir en prenant en compte l’effet de ces mesures fiscales pour un ménage chauffé au gaz en intégrant à la fois la facture de gaz, et la facture d’électricité. Le montant de la facture de gaz prise en compte intègre la hausse « théorique » de 30 % d’ici à la fin de l’année annoncée, puisqu’elle sera effectivement payée par les consommateurs dans le cadre du lissage.
(3) Pour nos calculs nous prenions pour hypothèse un prix moyen de 100 €/MWh sur le marché de gros d’ici à la fin de l’année. Notre nouvelle estimation pose comme hypothèse un prix moyen de 130 €/MWh d’ici à la fin de l’année, étant entendu qu’elle reste toujours prudente, le prix ayant atteint plus de 135 €/MWh hier sur le marché de gros.
(4) En baissant notamment la Taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel (TICGN).
(6) 42 €/MWh.
Traitement des déchets en Sarthe : donnez votre avis !
Photographie intitulée « Bon débarras… » de Jean-Pierre Bonnefon
3ème prix du Jury du Concours Photogachis de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe
L’UFC Que Choisir de la Sarthe lance une enquête destinée à mesurer votre niveau d’information et de satisfaction sur la collecte et le traitement des déchets : conteneurs, tri, déchèterie, coût, organisation …
Exprimez-vous en répondant EN CLIQUANT ICI.
Les résultats vous seront communiqués sur notre site.
UFC-Que Choisir de la Sarthe
Succès de l’accueil du Van UFC-Que Choisir au Mans
Les visiteurs étaient au rendez-vous samedi 25 septembre, Place des comtes du Maine et dimanche 26, sur le marché des Jacobins pour rencontrer l’équipe de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe et participer aux animations proposées autour du Van du 70ème anniversaire de l’UFC-Que Choisir
« Contre le démarchage téléphonique », « Pour une eau du robinet garantie sans pesticides », « Contre la pub pour la malbouffe à destination des enfants », et « Contre la TVA sur les taxes énergétiques » : ces quatre pétitions ont remporté l’adhésion du public avec largement plus d’une centaine de signatures chacune.
L’atelier Bar à eau a remporté un franc succès. 79 personnes ont pu goûter eau du robinet et eau en bouteille et essayer d’identifier l’eau du robinet. Seules 39 ont réussi. Donc, exit l’idée que l’eau du robinet a goût de chlore.
De nombreuses visites également à nos consultants de l’atelier information et conseils.
Autant de participants à l’atelier scanathon pour tester et télécharger l’application « Quelproduit », développée par l’UFC-Que Choisir, qui décrypte la composition des produits cosmétiques, alimentaires et ménagers pour faire les bons choix pour sa santé.
Beaucoup d’intérêt de la part des enfants mais aussi des grands pour l’animation photomaton
Notre collègue, Président de l’UFC-Que Choisir de la Mayenne, qui s’était joint à nous et proposait aux petits et grands, un jeu de l’oie grandeur nature sur le thème de la consommation responsable.
L’association Cyclamaine nous avait rejoints le samedi après-midi pour un atelier conseils réparation de bicyclette.
A toutes ces personnes qui ont découvert l’UFC-Que Choisir de la Sarthe, nous proposions de nous rejoindre en profitant de l’adhésion sympathisant 70ème anniversaire à 15 €. Plus nous serons nombreux, mieux nous serons entendus pour faire avancer nos actions pour la défense des consommateurs
Evelyne Gaubert, Présidente, UFC-Que Choisir de la Sarthe