UFC-QUE CHOISIR DE LA SARTHE

Débat : manger bien, manger sain

Les dessous de la protection des consommateurs en Europe

Le mardi 3 avril 2018 à 20h au lycée agricole de la Germinière à Rouillon,

la Maison de l’Europe Le Mans-Sarthe et centre Europe Direct organise un débat ouvert à tous !

En la présence d’intervenants et d’experts dans le domaine de l’agriculture et de la protection des consommateurs, les invités prendront la parole sur la PAC et plus particulièrement sous l’angle de l’alimentation. Parmi les thèmes qui seront abordés le mardi 3 avril à 20h nous reviendrons sur les OGM, les labels européens, l’étiquetage alimentaire, le glyphosate, les pesticides, les traités internationaux, mais aussi sur les sujets que donnera le public dans la salle.

Imaginé comme une véritable rencontre, le public pourra également intervenir et poser ses questions… car les citoyens ont aussi leur mot à dire !

L’équipe de la Maison de l’Europe Le Mans-Sarthe et Centre d’information Europe Direct a l’honneur de vous convier à son prochain débat avec :

Lydie Bernard, Présidente de la Commission Agriculture, agroalimentaire, forêt, pêche et mer à la Région Pays de la Loire.
Sophie Bringuy, Membre de la Commission Territoires, ruralité, santé, environnement, transition énergétique, croissance verte et logement à la Région Pays de la Loire.
Angélique Delahaye, Députée européenne PPE, membre de la Commission environnement et sécurité alimentaire.
Patrick Salez, Expert en aménagement du territoire et en politiques territoriales européennes et ex-fonctionnaire de la Commission européenne.
Pierre Guillaume, Vice-Président de l’UFC Que Choisir de la Sarthe.
et la participation du Collectif « Stop OGM Pesticides 72 ».

Article publié le 02/03/2018 – source site « La maison de l’Europe »

28 mars 2018

Appli QuelCosmetic : une application mobile gratuite pour choisir ses produits cosmétiques

Fini les doutes sur la présence d’ingrédients indésirables dans sa crème de jour, sa mousse à raser ou le gel lavant pour son bébé. Notre application gratuite QuelCosmetic permet un choix facile, rapide et éclairé de plusieurs milliers de produits cosmétiques.

L’application mobile QuelCosmetic

La sécurité des cosmétiques est un de nos chevaux de bataille. Différents outils mis en ligne depuis deux ans vous permettaient déjà de mieux vous y retrouver dans ce rayon. Avec notre application disponible gratuitement sur Google Play et l’App Store, le choix devient enfantin. Il suffit de scanner le code-barres du produit via votre smartphone, ce qui se fait très simplement, pour voir apparaître sa notation.

Quels sont les produits concernés ?
Tous les rayons sont représentés : soins du visage, du corps, des cheveux, produits pour bébés, solaires, hygiène dentaire, maquillage, parfums, qu’ils soient vendus en grandes surfaces, parapharmacies ou parfumeries. Nous avons même introduit quelques crèmes ou dentifrices au statut de médicament mais qui, aux yeux du client, ressemblent à des cosmétiques.

Avec plus de 6 000 références déjà évaluées, il y a des chances que vous trouviez votre bonheur. Mais, si nous avons pu facilement scanner des centaines de produits en grande surface pour alimenter notre base de données, l’opération est plus délicate dans les boutiques plus exiguës telles que les parfumeries par exemple.

Au cas où le produit qui vous intéresse ne serait pas encore présent dans notre base de données, nous vous invitons à nous le signaler via notre application QuelCosmetic en scannant le code-barres et en photographiant le produit en question et sa liste d’ingrédients. En quelques jours, il y sera intégré. Si vous avez choisi de nous laisser votre adresse mail, vous en serez personnellement informé(e).

Quels sont les ingrédients jugés indésirables ?
Des perturbateurs endocriniens, des allergènes, des irritants et autres toxiques : notre liste d’ingrédients indésirables est établie grâce à la veille scientifique de nos experts. Jusqu’à présent, elle figurait sur notre carte-repère à télécharger et glisser dans son portefeuille pour faire ses courses, mais cela impliquait une gymnastique fastidieuse pour l’acheteur. L’appli QuelCosmetic permet un pas de géant dans la simplicité d’usage.

Deux points clés à garder en tête pour l’utiliser en connaissance de cause : d’abord, la liste des ingrédients indésirables est évolutive puisque les connaissances scientifiques s’affinent en permanence. Tel ingrédient jugé sans risque aujourd’hui peut se révéler dans quelques années moins inoffensif qu’on le pensait. Ensuite, nous avons choisi de ne pointer que les ingrédients nocifs pour la santé, ceux qui ont un impact sur l’environnement ne sont pas pris en compte. Non que le sujet nous indiffère, ils le seront sans doute à l’avenir. Mais nous préférions concentrer nos efforts dans un premier temps sur la santé de l’utilisateur, préoccupation première des consommateurs.

Comprendre le résultat
Comme la toxicité potentielle des ingrédients peut varier selon les populations, l’évaluation diffère selon la personne concernée : un pictogramme s’affiche pour les femmes enceintes et les tout-petits (de la naissance à 3 ans), un autre pour les enfants et adolescents, un troisième pour les adultes. La couleur va du vert (aucun risque identifié à ce jour) au rouge (risque significatif) et est accompagnée de lettres de A à D à destination des daltoniens. Elle correspond à celle de l’ingrédient le plus nocif de tous ceux présents : une crème peut comporter dix composants au-dessus de tout soupçon, si le onzième est un perturbateur endocrinien avéré, c’est sa couleur rouge qui l’emportera. Attention, le résultat ne concerne que la composition du produit. En aucun cas, il ne renseigne sur sa qualité intrinsèque ou son efficacité. Ces critères ne peuvent être mesurés qu’en laboratoire et nous le faisons à l’occasion des tests comparatifs que nous publions régulièrement sur telle ou telle famille de produits. Mais forcément, le nombre de références concernées est sans commune mesure avec celles présentes dans l’appli.

Le plus que vous attendiez
Depuis notre première grande campagne sur les ingrédients indésirables dans les cosmétiques, vous êtes nombreux à nous demander une liste positive des produits n’en contenant pas. Demande satisfaite avec l’appli QuelCosmetic ! Lorsque le produit que vous convoitez contient des ingrédients indésirables, il suffit d’un clic pour voir s’afficher une liste d’homologues plus recommandables.

Si vous êtes curieux de savoir pourquoi tel produit hérite d’une mauvaise note, cliquez sur le pictogramme de couleur et l’ingrédient incriminé s’affiche avec des explications sur sa nocivité. Par ailleurs, la composition complète du produit est affichée.

Et pour l’avenir ?
Par nature, une appli est évolutive. Pour une information toujours plus conforme à vos attentes, de nouvelles fonctionnalités seront certainement proposées à l’avenir. N’hésitez pas à nous faire part de vos suggestions via le formulaire de contact.

Découvrir comment télécharger l’application sur quechoisir.org

Information UFC-Que Choisir  Publiée le : 12/03/2018 sur le site Que Choisir

 

14 mars 2018

Déploiement de la fibre optique en Sarthe Facture, fracture … visons l’équité des territoires.

Télémédecine, éducation (avec la mise à disposition dans les collèges de contenus pédagogiques numérisés), accès à nos services publics (avec la possibilité d’effectuer des démarches administratives en ligne) et pour nous, simple particulier, envoi et réception de photos avec la famille, service de télévision (vidéo à la demande, programme en  haute définition)  en quelques années, les usages du numérique ont explosé.
Toujours plus d’informations échangées, toujours plus vite, nécessite d’adapter et de développer des réseaux de plus en plus performants.
Au début des années 2000, avec l’arrivée de l’ADSL en Sarthe, on parlait du haut débit. Sa vitesse de transmission affolait les compteurs en faisant passer les années modem dans la préhistoire. Aujourd’hui, nous parlons de très haut débit avec le déploiement de la fibre optique.

La fibre optique, technologie reine et pérenne 

On parle de très haut débit quand celui-ci dépasse les 30Mbit/s. Trois technologies permettent d’atteindre un tel débit : le VDSL2 (qui utilise le réseau cuivre existant à l’instar de l’ADSL), le câble (déjà présent au Mans par exemple) et la fibre optique. La fibre permet des débits beaucoup plus importants tant en réception (flux descendant) qu’en émission (flux montant). De plus,  sa performance n’est pas altérée par la situation géographique de l’usager, contrairement à la technologie ADSL pour laquelle la distance par rapport au point de distribution joue un grand rôle sur la vitesse de transmission.

Les acteurs du très haut débit aujourd’hui dans notre département

Il n’est pas simple de s’y retrouver. Pour simplifier, on a l’opérateur d’infrastructure qui construit le réseau et le Fournisseur d’Accès Internet (FAI) que l’on connaît tous. Certains opérateurs, comme Orange, couvrent l’ensemble.
Orange, en tant qu’opérateur d’infrastructure, a déployé la fibre sur 14 communes de la Sarthe représentant 38% des ménages et 44% des entreprises du département.

En parallèle, le syndicat mixte « Sarthe numérique » a commencé le déploiement de son réseau fibre en 2015. Les zones où l’ADSL est inexistant sont priorisées pour respecter l’équilibre entre les territoires. Une délégation de service public est en cours pour l’extension du réseau fibre optique.

Le câble, présent au Mans et à Sablé- sur-Sarthe, est un réseau coaxial très haut débit, avec des flux descendants et montants différents,  beaucoup moins performant que la fibre.

On parle encore et toujours de fracture numérique, d’équité des territoires

Quand un  opérateur d’infrastructure se penche sur la carte de la Sarthe pour définir sa stratégie de déploiement de la fibre optique, sa première préoccupation est de localiser les zones géographiques rentables comme Le Mans, Sablé.

Face à cette vision purement commerciale, le Département et les collectives locales  doivent peser pour garantir une couverture totale de nos territoires.

Le haut débit est un élément important dans l’attractivité d’un territoire. Aujourd’hui, pour un cabinet médical, une entreprise, la présence d’une connexion très haut débit est une nécessité.

Après la fracture, attention à la facture…

Aujourd’hui, globalement,  les FAI proposent une offre fibre à un prix équivalent à une offre ADSL, aux alentours de 30 € par mois. Quand on évoque les nouvelles technologies, difficile de prédire l’avenir. La mise à disposition de la fibre, dans les zones rurales, nécessite un fort investissement financier et la crainte d’en voir des répercutions sur nos factures est réelle.

L’ UFC-Que-Choisir demande un internet de qualité pour tous et s’oppose à des hausses du tarif ADSL visant à inciter les consommateurs à migrer vers une offre en fibre optique.

Jean Louis Cabaret, consultant et Christian Goujon, communication

 

14 mars 2018

Syndicat d’eau de la région mancelle (Siderm) : une pause dans les tarifs de l’eau

Aura-t-il  fallu la sortie  de Le  Mans Métropole (LMM) pour que le Siderm  annonce enfin un gel de ses tarifs de l’eau pour 2018 ?

Lors des Commissions Consultatives des Services Publics Locaux (CCSPL) du 19 septembre et 8 décembre derniers, le Siderm nous  a informés  qu’à compter du 1er janvier Le Mans Métropole (LMM) se retirait de ce syndicat (1)

Forte  réduction de l’activité du Siderm avec le retrait de LMM

Le différend qui existait avec LMM au sujet de sa facturation d’eau au Siderm s’est soldé par son départ. Ainsi le Siderm n’aura  jamais obtenu le justificatif de cette facturation, pourtant prévu dans la convention. En effet l’eau distribuée par le Syndicat de la région mancelle provenait pour près de 52 % d’eau superficielle achetée à LMM. En conséquence, la « première couronne » des communes autour de celle du Mans sera desservie, non plus par le Siderm, mais par LMM. Qu’en est-il de l’information par LMM des consommateurs concernés ?

Depuis le 1er janvier 2018,  le Siderm a perdu 18 communes sur les 40 qu’il  desservait préalablement (30 entièrement  et 10 partiellement). Son nombre d’abonnés chute, en gros, de 45 000 à  30 000, soit des deux tiers ! Auparavant le Siderm livrait 5,8 millions de m3 d’eau pour 4,8 millions de consommés (83 % de rendement). Cette eau provenait  des 4 forages du Siderm pour 2,7 millions de m3 et de l’usine de l’Epau de LMM pour 3,1 millions. Désormais, au niveau du Siderm, il faudra compter sur une livraison annuelle de 1,9 million de m3 d’eau, pour alimenter 17 000 foyers avec un  réseau de distribution de 700 km. Les échanges d’eau entre LMM, qui augmente son activité, et le Siderm, qui la réduit d’autant, se feront sur un prix de 0,50 € le m3 pour l’un et pour l’autre. Sur cette base, il parait difficile d’expliquer les 0,72 € payés par le Siderm jusqu’alors.

Avant, seul LMM vendait de l’eau au Siderm. Désormais LMM devra aussi acheter de l’eau au Siderm provenant de ses 2 captages de Saint-Pavace, de celui de Saint-Mars-d’Outillé et de celui d’Yvré-le-Polin. Les dispositifs sur ces périmètres de captages permettent d’éviter les pollutions ponctuelles ou accidentelles.

Le Siderm, fort de son savoir-faire sur lequel il va communiquer, espère bien « conquérir » de nouvelles communes.

C’est d’ailleurs ce qui vient de commencer. La commune d’Ecommoy vient d’intégrer  son  périmètre.  La tarification de l’eau y sera adaptée pour arriver, progressivement à celle actuelle du Siderm.

Parallèlement, l’effectif des salariés du syndicat a été ajusté : 16 agents sont restés et les 15 autres ont souhaité regagner LMM. Dans le courant de l’année, un agent d’Ecommoy viendra renforcer  l’équipe qui se prépare à son changement de directeur pour cause de retraite.

Pas d’augmentation des tarifs pour rester attractif !

Cette fragilisation du Siderm et sa volonté de se redévelopper l’oblige à des tarifs plus compétitifs…Voilà pourquoi  ils n’augmentent pas en 2018 : le prix du m3 reste à 1,306 € HT (sauf pour Ecommoy où il est de 1,136 €).

Quand la structure doit séduire de nouveaux « territoires », elle trouve possible de ne pas augmenter ses tarifs. Beaucoup moins d’égards ont été manifestés aux anciens clients, ceux qui ont porté la structure depuis des années ! Ceux-ci ont vu des augmentations notables chaque année pour atteindre plus de 22 % sur 5 ans.

Peut-on être rassuré, malgré un nouveau Président à l’écoute des consommateurs et se disant soucieux de satisfaire ses usagers ?

Quant aux consommateurs des communes intégrant maintenant LMM, nous les invitons à surveiller leur prochaine facture : baisse ou hausse … affaire à suivre  !

1) Liste des communes quittant le Siderm et désormais desservies par LMM :

Aigné – Allonnes – Arnage – Champagné – Chaufour-Notre-Dame – Fay – La Chapelle-Saint-Aubin – Coulaines – La Milesse – Mulsanne – Pruillé-le-Chétif – Rouillon – Ruaudin – Saint-Georges-du-Bois – Saint-Saturnin – Sargé-lès-le-Mans – Trangé – Yvré-l’Evêque.

Liste des communes restant au Siderm :

Brette-les-Pins – Changé – Etival-lès-le-Mans – Fillé-sur-Sarthe – Guécélard – La Quinte – La Suze-sur-Sarthe – Laigné-en-Belin – Louplande – Moncé-en-Belin – Neuville-sur-Sarthe – Parigné-l’Evêque – Parigné-le-Polin – Roëzé-sur-Sarthe – Saint-Gervais-en-Belin – Saint-Mars-la-Brière – Saint-Ouen-en-Belin – Saint-Pavace – Savigné-l’Evêque –

Alain André, Commission environnement

14 mars 2018

LINKY : refusons de payer pour Enedis !

Les signalements de dysfonctionnements suite à l’installation du compteur Linky ne faiblissent pas. La Cour des Comptes a confirmé les critiques initiales de l’UFC-Que Choisir sur le coût de ce compteur pour les consommateurs et leur trop faible utilité pour maîtriser la consommation énergétique. L’UFC-Que Choisir repart à l’offensive. L’association a lancé une pétition : « Linky : refusons de payer pour Enedis », qui en deux jours a déjà dépassé les 100 000 signataires.

15 euros par an pendant 10 ans sans contrepartie ! 

le gouvernement avait toujours promis que le déploiement du compteur Linky serait gratuit pour les ménages, la Cour des comptes a confirmé, dans son rapport public annuel 2018, l’alerte initiale de l’UFC-Que Choisir quant au fait que les consommateurs le paieront via leur facture d’électricité. À compter de 2021, la facture d’électricité des Français va bel et bien être impactée et pas de peu ! Ce n’est pas moins de 15 euros par an pendant 10 ans qu’ils vont avoir à payer pour le financement de ces compteurs, avec en outre une confortable marge de 500 millions d’euros pour Enedis.

Or, ce coût n’a pas de contrepartie pour les consommateurs puisque l’information pour une meilleure maîtrise de la consommation énergétique est aux abonnés absents ! En effet, les informations disponibles via les compteurs sont très maigres et peu accessibles. L’affichage déporté, permettant une information en temps réel plus complète et lisible, est limité aux seuls ménages précaires. En l’état, les compteurs Linky ne sauraient donc garantir une meilleure maîtrise de la consommation énergétique par les ménages !

Refusons de payer pour Enedis !

La pétition : « Linky : refusons de payer pour Enedis » demande donc aux autorités (CRE et Etat) d’améliorer le dispositif pour en faire véritable outil de maîtrise de la consommation énergétique et de revoir les conditions de financement du compteur.

L’UFC-Que Choisir de la Sarthe appelle donc les sarthois à se mobiliser en signant la pétition pour exiger que le Linky soit enfin un outil au service de tous, et reste bien évidemment à la disposition de tous les consommateurs en cas de litiges avec le compteur.

Des outils à disposition des consommateurs

Pour aider les consommateurs à résoudre les problèmes de pose et de dysfonctionnements consécutifs à l’installation du compteur demeurent, L’UFC-Que Choisir  met à leur disposition une série d’outils sur le site quechoisir.org : des questions réponses sur les recours possibles en fonction des dysfonctionnements constatés ainsi que des lettres-types pour répondre à des problèmes précis (pose du compteur sans information préalable ; dégâts sur le coffret ou le mur lors de son installation ; perte de denrées alimentaires suite aux mises hors tension brutales ; dysfonctionnements d’appareils électroménagers).

11 mars 2018

Ayez les bons réflexes en matière d’alimentation : inscrivez-vous aux rendez-vous conso de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe

L’UFC-Que Choisir de la Sarthe vous propose DEUX NOUVEAUX « Rendez-vous Conso »  en AVRIL 2018.  Inscrivez-vous !

Les « Rendez-vous Conso » s’adressent aux consommateurs qui souhaitent acquérir les bons réflexes pour bien choisir leurs produits ou leurs services dans un domaine de consommation.
À valeur nutritionnelle égale, les différences entre le prix des produits alimentaires peuvent varier de 1 à 10 !

Pour bien choisir leurs produits, les consommateurs doivent évaluer la qualité nutritionnelle et les prix, identifier les modes de conservation, comprendre les dates… Et acheter les bonnes quantités pour ne pas gaspiller !
Quels sont les réflexes à avoir pour choisir les produits qui offrent un bon rapport qualité nutritionnelle-prix ?

En AVRIL 2018, deux « Rendez-vous Conso » sur l’alimentation sont proposés :

 

Manger équilibré au juste prix  :

Mardi 10 avril  2018 de 14H30 à 16H30 – Salle de réunion N° 3 – Maison de quartier l’Oiselière (Près du collège Villaret)

Cet atelier permettra aux participants d’acquérir les connaissances de base pour choisir des produits alimentaires en fonction de critères objectifs : leur composition, leur intérêt nutritionnel,  leur prix, leurs modalités de stockage et de conservation.

L’approche pédagogique privilégiera la réalisation d’activités pratiques et les échanges entre les participants

 

 

S’organiser au quotidien pour ne pas gaspiller : Mardi 17 avril  2018 de 14H30 à 16H30 – Salle de réunion La Rotonde N°1 – Maison des associations – Rue Auvray au Mans

Cet atelier a pour objectif d’aider les consommateurs à composer des repas variés et équilibrés tout en mettant en œuvre des pratiques simples pour éviter le gaspillage alimentaire. La séance associera des temps de réflexion et d’échanges entre les participants à une activité d’étude de cas pratique.

 

 

 

Les + de ces rendez-vous conso :

  • ils s’appuient sur les repères de consommation du Programme national nutrition santé (PNNS) pour tous ;
  • ils apportent des connaissances pratiques applicables au quotidien pour bien choisir ses produits (besoins nutritionnels, étiquettes alimentaires, comparaison de prix,…) ;
  • ils incitent à effectuer des choix raisonnés en matière d’alimentation ;
    ils apportent des connaissances pratiques aux consommateurs ;
  • ils sont animés par des bénévoles de l’UFC-Que Choisir, consommateurs éclairés, désireux de partager leurs connaissances, leurs astuces, leurs bonnes pratiques ;
  • ils rassemblent une quinzaine de participants dans un cadre convivial favorisant les échanges.

Comment y participer ?

Participation :

  • 5 € pour les adhérents ou abonnés de l’UFC-Que Choisir
  • 8 € pour non adhérent ou non abonné

Ces rendez-vous conso vous intéressent, inscrivez-vous auprès de l’UFC-Que Choisir de la Sarthe  en téléchargeant et en renvoyant  le bulletin d’inscription  : Inscription Rdv Conso AVRIL 2018

Vous désirez plus de renseignements ?
Contactez nous au 02 43 85 38 91
ou par mail : contact@sarthe.ufcquechoisir.fr

 

11 mars 2018